Lionheart - Love Don't Live Here

Tu as une barbe, des tatouages et des muscles, tu es donc un hipster !

Ah non il te manque la chemise à carreaux ! Tu es donc un fan de LIONHEART so : fuckya bitch mudafuckaaaaaa. Bitch. Mudafucka. If U want. Bitch.

Oups je m'emballe. Pas grave.

Car LIONHEART est non seulement le titre original d'un film de JCVD, datant de 1990 et en plus celui du combo formé en 2004 à Oakland.

Le Belge et les Californiens sont hyper raccord en fait.

Le même manque de cerveau.

Le même amour du coup de latte.

La même passion des choses simples... disons simplistes.

LIONHEART, le groupe, on ne peut pas s'empêcher d'aimer. Mais avec un sourire en coin. Comme JCVD.

En effet, les Coreux font toujours dans l'excès. Niveau KDS, niveau bondieuserie ricaine à deux balles et niveau compos qui défoncent.

Vous avez écouté les quatre albums précédents et leur Ep de 2014 ? Vous êtes donc accros à la testostérone en galette. Ainsi, aucune raison de ne pas poser une oreille sur le ptit dernier au titre parfait et à la pochette... pareille.

Et hop, vais plagier un ancien chroniqueur du site. Non pas mon genre, malgré les barres de bonheur provoquées par les deux chroniques de JiBrest.

Oui, alors on pourrait trouver quelques différence subtiles entre toutes les prod du groupe.

Mais soyons sérieux le temps d'une kro : LIONHEART étale toujours la même pâte à crêpe même si sa recette est à toute épreuve.

Et gros ! Je pose des riffs de bûcheron entendus 677 678,4 fois. C'est précis. Et gros ! Je rage, la bave à la babine niveau chant. C'est normal. Et gros ! Je moshparte comme un Stromtrooper (Of The Death). C'est le mal de dos. Et gros ! Je pose encore des burnes d'apatosaurus. C'est dino. Et gros ! T'es gros. C'est la mayo.

Parfaitement indispensable et complémentent dispensable aussi. Gros.

Crom-Cruach

le 03/03/2016