Robot Orchestra - Birth(s)

Chronique Vinyle 12" (39:47)

chronique Robot Orchestra - Birth(s)

> Agenda mi-Mars 2017 :

 

Mardi le... rendez-vous avec le nouvel opus de Robot Orchestra !

 

NDLA : Ah, ils sont de retour ... ben z'ont pas traînés depuis leur 3 !

Hey, chouette pochette ! Un peu d'espace, ça le fait toujours...

 

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Ben me souviens pas de cette voix là !... de cette hargne là qui colle comme le chewing-gum de Dave Grohl (en bas de la joue gauche)... Et puis, mates moi ces riffs à la Second Rate, Greedy Guts... bon.

 

> Agenda 15 Mai 2017

 

Le Boss : « Salut Eric, tu vas bien ?

Je sais, je sais, tu ne peux pas chroniquer en ce moment, mais je te demande quand même un truc, je suis incorrigible haha !

 

le nouveau ROBOT ORCHESTRA, Birth(s), tu n'aurais pas du tout de temps à lui consacrer ? »

 

Ben...

 

 > Agenda 15 Juin 2017

 

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Le chewing-gum, calé, là où je l'avais laissé n'arrange pas le début bien remuant de ce nouvel effort. L'impression mélopunk/power-pop de la première écoute s'estompe à mesure que l'on avance... à mesure que le coucou prenne son envol.

Robot Orchestra évolue dans un registre résolument post... rock, metal (?) , Pink Floyd (si si), Battles (aussi)... , hardcore pour la formule déclinée.
Ici tout est plus rugueux, abrasif aux encolures. Tiens prends « Damned Generation » par exemple... leur single-qui-tue. C'est saignant hein ?

 

Depuis ... Now, we can walk, on a pris l'habitude de retrouver leurs motifs d'une composition à l'autre, des rappels de riffs en somme, Birth(s) offre une fougue inattendue en plus. Peut-être que leurs morceaux sont moins compliqués et qu'ils peuvent se lâcher. Certainement, qu'ils ont fait une fixette Punk ces derniers mois... « Broken teeth » porte tellement bien son nom. « Birth(s) » qui referme l'album est ce genre de titre évocateur qui prouve combien le groupe a une personnalité affirmée... dans le registre post des regrettés Microfilm.

 

Vous l'aurez compris à l'écoute, si « Grand8 » et « Apparat » me laissent de marbre, il n'en est rien pour le reste. M'enfin, ce serait malhonnête de critiquer un groupe parce qu'il joue ce dont il a envie... oui, tout est de qualité de ce disque en particulier la prod riche de Amaury Sauvé et l'habillage sur mesure par Magnus Lindberg qui a déjà mis ses mimines sur le dernier live de No One is Innocent et retaillé les plastrons chez Cult of Luna.

photo de Eric D-Toorop
le 20/06/2017

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