Hellfest 2010 - Report vendredi 18 juin

Hellfest 2010 Report vendredi 18 juin (dossier)
 

 

Légende :

 
Pidji
 
Swarm
 
(((Viking jazz)))


THE FACELESS

Terrorizer tent / 10h30

Fort d’un nouvel album (Planetary Duality sortit chez Relapse) faisant la part belle à un techno death du début des 90’s revisité avec la touche moderne du death technique actuel, The Faceless foule la scène de Clisson en premier cette année. Leur mélange de Cynic et de Spawn Of Possession fait mouche. Le côté moins précis du son live aurait pu faire perdre en intensité et en subtilité à la musique du groupe mais il n’en n’est rien. Les passages jazzy passent admirablement le cap scénique tandis que les blast beat furieux et les riffs complexes nous assènent un gros coup de pied dans l’arrière train. La voix du chanteur reste puissante et les samples de vocoder et de synthés arrivent à ressortir dans le mix, que demander de plus ?! Peu réveillés, les spectateurs salueront tout de même la prestation très impressionnante du combo ricain ; première grosse surprise de la journée pour un premier concert.

 

CARNIFEX

Terrorizer tent / 11h20

Du monde sous la Terrorizer tent pour le deathcore américain de Carnifex, qui ne laissera pas une trace indélébile dans le paysage metal US. Classique, mais efficace, un peu trop metalcore à mon gout sur les moshpart, un chant peu intéressant et des structures de compos systématiques… Mouai, je passerai vite mon chemin, cette vague deathcore ne fait plus l’unanimité pour mes oreilles difficiles. Un coup dans l’eau.

 

MAGRUDERGRIND

Terrorizer tent / 12h10

Magru, c’est comme le port-salut, c’est marqué dessus. Du grind en veux-tu en voilà, méchant, énergique, qui sait faire du neuf avec du vieux (leur dernier album éponyme sous les commandes de Kurt Ballou) en mélant passages mammouth, samples et blast-beat aussi rapides de crusty. Si les aspects plus travaillés de leur musique passe complètement à la trappe sur scène, on à cependant le droit à du straight in your face, avec du bon gros caca grindos. Le trio gratte-batterie-chant ne manque pas en énergie, et ne souffre pas du manque de prestance scénique que l’on aurait pu suspecter. L’attitude rien à foutre qui va avec, et 20mn plus tard la boucle est bouclée et nos oreilles ont saignées. Amen.

Pour mon premier concert du Hellfest cette année, ça commence plutôt bien ! Magrudergrind nous balance son grindcore à fond les ballons et c'est vraiment bon à entrendre, d'autant plus que le son est loin d'être dégueulasse. Cool.

 

CROWBAR

Main Stage 02 / 12h50

La scène Nola aura fait son tour au Hellfest entre l’affiche de l’an passé et cette année. Les vieux briscards de Crowbar, emmenés par le gros Kirk viennent entacher nos esgourdes d’un bon sludge malsain, groovy et crasseux (bon pas autant que Eyehategod je vous l’accorde)... Mais la demie heure de set du combo de New-Orleans sera bien poisseuse et collera aux basques. Si le son n’est pas au rendez-vous sur tous les titres, on à le droit à une bonne prestation, avec un chanteur aussi charismatique que barbu, et des morceaux qui sentent bon le bailloux… Et la marée noire (sic).

 

NECROPHAGIST

Rock Hard tent / 13h35

Le combo allemand se fait rare, et son annulation il y a deux ou trois ans à laissé des envieux sur la carreau. Les fans seront au rendez-vous et la Rock Hard tent sera blindée ! Impossible de voir la scène pour la plupart des spectateurs et quasiment impossible de distinguer la guitare à travers cette avalanche de blasts. Le nouveau line-up se porte bien mais n’est pas très communicatif et il faut lutter pour reconnaître les morceaux. Cependant on trouve du plaisir à écouter les classiques du groupe (« Fermental offal discharge » « Full body autopsy » etc) et à constater le niveau technique proprement hallucinant des zicos. On pourra dire qu’on à enfin vu Necrophagist, mais on ne sera pas bouleversés par la prestation, malgré l’ambiance et la fournaise qui règne dans le chapiteau.

 

MASS HYSTERIA

Main Stage 01 / 13h35

Il y avait tellement de monde pour Necrophagist que je suis plutôt reparti vers les Main Stage. Où Mass Hysteria jouait à cette heure-là.
Mass Hysteria, pour ma part, c'est la tournée de "Contraddiction" où je les avais vu au moins 5-6 fois cette année-là... Bref, ça nous rajeunit pas ! Et depuis, le groupe s'est vraiment dissipé, jouant un pseudo rock sans esbrouffes et des paroles toujours aussi... Hum passons.
Et d'aileurs, ce concert ne me fera pas changer d'avis : le groupe s'acharne à jouer des titres récents au début, et on s'ennuie ferme. Puis la fin du set s'approchant, le groupe joue enfin les tubes que tout le monde veut, c'est à dire "Contraddiction", "Respect to the Dancefloor" et consorts. Et là, toute l'énergie du combo revient sur le devant de la scène, pour un final vraiment sympathique, avec la "Furia" bien évidemment. Mais Mouss, arrête de chanter en anglais par contre, pitié. Les étrangers ont dû bien se marrer.

 

WALLS OF JERICHO

Main Stage 02 / 14h20

De loin, toujours aussi efficace et aussi chiant, à priori. Sans moi.

On pourrait copier/coller chaque résumé de concert de Walls of Jericho : groupe ultra efficace en live, une chanteuse au top sautillant dans tous les sens et valant à elle seule qu'on regarde leur prestation. Walls of jericho n'est pas à écouter sur CD, mais à voir sur scène.

 

DEFTONES

Main Stage 01 / 16h55

On avait peur de ce concert. On avait peur d’un son pourave et d’un Chino en petite forme, chantant comme à son habitude faux. Dieu existe, il a entendu nos inquiétudes et à fait de ce concert une bombe, nous plongeant 10 ans en arrière et nous donnant du baume au cœur. Un nouvel album et un nouveau bassiste sous le coude pour jouer tous les classiques du groupes, ainsi que la floppée de tubes de Diamond Eyes, le ptit nouveau : « Diamond Eyes », « Rocket State » le super bon « You’ve seen the butcher » entre autres. A déplorer l’absence totale de titres de l’album éponyme et de Saturday Night Wrist, « Hole in the earth » m’aurait fait super plaisir tout de même. Mais à noter un revival des premiers albums, avec une session Adrenaline/Around The Fur/White Pony tonitruante, avec un « Passenger » rare dont les parties de Maynard J. Keenan (Tool, A Perfect Circle, Puscifer) n’ont pas été trop massacrés. Un Chino en grande forme et en grande suée avec ses kilos perdus et sa chemise rose, super motivé qui nous a fait partagé un grand moment et revivre nos jeunes années. L’attitude des musiciens reste toujours un peu froide, mais on sent que Abe a envie de gogner dur et bien. Une motivation qui donnera à ce concert un air de retour en force pour le groupe de Sacramento. Unanimement adulés, un des meilleurs concerts du week-end pour un groupe qu’on continuera d’adorer jusqu'à nos vieux jours.

Après une arrivée sur le site en catastrophe pour assurer une interview de Deftones qui n’aura jamais lieu puis bu une ou deux bières pour me remettre de la déception, me voilà devant la mainstage 01 pour voir le set de nos poseurs de lapin. Clairement, je n’étais pas de ceux qui attendaient grand-chose de ce concert mais trois choses pouvaient quand même rendre tout ça particulièrement intéressant :
- Les trois premiers disques des ricains comptent parmi ceux qui ont rythmé mon adolescence.
- Je n’ai jamais vu le groupe sur scène.
- premier concert du HF cru 2010 pour ma part.
Au final, je n’aurais pas été déçu voire carrément surpris. Le son est très bon, la prestation de tous les membres du groupe est sans réelle faille, Chino et Sergio (Vega : ex – quicksand et actuel remplaçant de Chi Cheng à la basse) compris, et la setlist est juste parfaite. Cette dernière, bien que faisant quelques détours nécessaires du coté des derniers efforts du groupe, fait la part belle aux disques de la première heure. C’est avec une joie non dissimulée que l’on entendra "root", "seven words", "engine n°9", "birthmark" (adrenaline), "lotion", "my own summer", "be quite and drive" (around the fur), "elite", "korea" ou encore "feiticeira" (white pony)… On aura même droit à "Passenger" avec un Chino Assurant les partie de Maynard comme un grand (bon, il se sera un peu gauffré sur la justesse sur celle là mais on lui pardonnera, hein).
Puisqu’on est sur la justesse de Chino, on notera aussi qu’il se sera montré particulièrement performant sur cette date, surtout quand on connait sa réputation scénique plus que changeante. De plus l’ex-obèse, tout de rose vêtu, sautille partout, mouille la chemise, trainasse dans le public et se fend même de quelques parties de grattes additionnelles sur quelques morceaux. Le reste du groupe, quoiqu’un peu statique (Carpenter n’est pas non connu plus pour bouger à outrance), se la donne bien et c’est à un véritable set de tête d’affiche que l’on assiste en ce vendredi après midi. Au moins, ça me vengera d’avoir loupé Gorod et Crowbar.

Que dire de plus que mes acolytes ? Un concert que je pensais voir de loin, sans plus ; et qui finalement a tout retourné ! Il faut dire que le fait de jouer un tas de chansons d'"Adrénaline" n'y est pas étranger. Chino a retrouvé sa voix, le son est énorme (ce son de gratte, quasi similaire que sur CD, impressionnant) et on est bluffés par l'énergie dégagée.
Du coup, je les pardonne de nous avoir laché pour l'interview, ce concert le vaut bien. Un des grands moments de ce week-end sans hésiter.

 

HYPOCRISY

Main Stage 02 / 18h05

Pour les mêmes raisons qui m’auront poussé à voir Deftones (l’adolescence), je me rue vers la Main 02 pour mater Hypocrisy avec un Tätgreen qui s’était bien déjà bien démerdé l’année dernière avec Pain. Et bien mes amis, le résultat fût assez calamiteux : son approximatif, show ultra statique et ambiance en berne. Après n’étant plus vraiment fan du groupe aujourd’hui, je passe la main pour un descriptif plus poussé : trois p’tits titres et puis s’en va.

 

INFECTIOUS GROOVES

Main Stage 01 / 19h00

Un peu de fraicheur dans ce festival, avec comme l’an passé la bande a Mike Muir de Venice Beach Californie qui vient titiller la funk des metalleux. Qui n’a jamais fait de skate ne peut accrocher à la déflagration groovalistique des ricains, toujours armés de bandanas, de solos de wah wah et de basse funkadelic, et d’un niveau de jeu tout bonnement hallucinant. Ca balance les gros hits « Punk It Up », « Infectious Grooves », « Violent and Funky », « Monster Skank », « Boom, Boom, Boom », « You Lie… And Yo Breath Stank » ca blablate toujours autant entre les morceaux, et ca termine en gros bordel sur scène comme pour Suicidal Tendencies l’an dernier, avec tout le public sur les planches. Un gros moment qui remet des années en arrières et qui divertit dans un festival qui met la dose de « méchant a distorsion et a double-pédales ». Ajoutez à cela la reprise « Immigrant Song » de Led Zep (sur Sarsippius' Ark) et vous obtenez le show le plus rafraichissant de ce week end (comme l’était ST l’an dernier). Mettons nos vans nos bandanas et remontons nos chaussettes. Tous à vos planches à roulettes !

Vu quelques morceaux sur le coté de la scène. Son énorme, grosse patate, 100 personnes sur scène à la fin du set… Comme d’hab’. Grosse déception de pas avoir pu me faire ce concert en entier et en bonne place.

L'interview de Godflesh m'aura fait manquer tout le début de ce concert, et c'est bien dommage. Mike Muir est toujours le maëstro de la scène, et son groupe est tout aussi groovy ! Quelle débauche d'énergie, ça envoie dans tous les sens, c'est funky à souhait (ce bassiste, quel niveau !), et je suis du même avis que (((Viking jazz))) : ce genre de concert est très rafraichissant parmi cette débauche de metal dans les oreilles.

 

THE YOUNG GODS

Terrorizer tent / 20h45

Connaissant un peu les dernières prods des suisses, je décidais de trainer Pidji ainsi que quelques copains dans la Terrorizer pour voir un des trop rares ovni du Fest cette année. Et, ma foi, j’ai plutôt très bien fait ! Franz (Tichler, chant et guitare) est un véritable petit diable sur scène malgré sa quarantaine affichée. Le groupe joue ses compos à la perfection avec un son énorme et une réelle joie d’être là. Le public est un peu clairsemé mais visiblement aux anges jusqu’à ce que le générateur de la Terrorizer vienne à lâcher en plein milieu du cinquième morceau. Catastrophe pour le groupe qui se montrera vraiment très déçu (déception partagée par quelques centaines de festivaliers) à partir du moment où l’on comprendra que le set est bel et bien fini. On attend de pied ferme leur prochain passage en France du coup pour un vrai set complet, bordel !

Je ne peux que remercier Swarm de m'avoir emmené dans la Terrorizer tent pour voir The Young Gods, qui pendant 4 titres ont tout simplement été ensorcelants et envoutants avec leur electro indus totalement maitrisé. Malheureusement, cette ambiance hypnotique va vite être cassée : coupure d'électricité dans la Terrorizer. Les techniciens n'arrivant pas à rétablir le problème rapidement, le concert s'arrêtera là, au grand désespoir du public et du groupe lui-même. Merde.

 

GODFLESH

Terrorizer tent / 22h00

Après une interview éclair du groupe et une moitié de concert de The Young Gods (cf. ci-dessus), on s’engouffre dans la Terrorrizer pour voir ce qui doit logiquement être l’évènement de ce vendredi : la reformation originelle du projet chéri à Broadrick. Comme ce dernier nous l’aura appris quelques heures auparavant pendant son interview : c’est bien une reformation du line up originel, c'est-à-dire lui et Greene + Roland (la boite à rythme)… idem pour la setlist, intégralement tirée des trois premiers disques, ce qui, dans l’idée, n’est pas pour me déplaire. Mais il ne m’aura malheureusement pas fallu beaucoup de morceaux pour me rendre compte que faire un concert de metal indus frontal, minimaliste, sans batteur et quasi sans sample (outre la boite à rythme), c’est pas si facile. De plus, les gros problèmes techniques aux soundcheck, la simili engueulade entre Greene et Broadrick, la tension palpable entre les deux larrons tout le set, la déception visible sur le visage de Broadrick qui ira jusqu’à annoncer à demi mot que Godflesh ne se reformerait plus jamais ont réussi à éliminer tout l’enthousiasme qu’il me restait : la déception du Hellfest à mes yeux.

Plait-il ? Broderick a joué ce soir ? A part un fouillis péniblement mis en place après de longues minutes d’attente, de sound check raté, je ne pourrai pas dire avoir vu et entendu le grand Godflesh, de toute façon le cap scénique était quasiment voué a l’échec vu le coup de vieux qu’a prit la musique du groupe. Mis a part les titres « grands classiques de Streetcleaner » pas grand-chose à en retenir. Dommage.

Tout démarrait pourtant bien : ces essais de sons où Broderick balançait ses "GOD.... FLESH" au micro étaient carrément transcendants, et je pensais être submergé par le retour tant attendu du groupe. Malheureusement, il n'en fut rien. Quelle déception ! Les 2 larrons donnent en plus l'impression de ne pas trop savoir quoi faire, tristesse...
Après des tonnes de soundchecks le concert partira enfin, mais sans rien donner : aucune émotion, une boite à rythme qui frise le ridicule sur le premier titre ("poum tchak") : c'en est trop !

 

ULVER

Rock Hard tent / 23h00

Deuxième Ovni de la journée et pas des moindres en la personne d’Ulver. Les norvégiens boudant pas mal la scène et détestant l’assimilation de leur musique au black metal d’antan, les voir au Hellfest cette année est un véritable évènement : en témoigne leur installation sur scène avec, en plus du backline classique, percussions, piano, laptops, gong ( !?!) ainsi que de chouettes projections. D’ailleurs, puisqu’on parle de projections, on remarque très vite que le groupe se repose intégralement sur elle tant l’ambiance sur scène est intimiste (peu de lights) et décontractée. Garm fume clope sur clope et préfère lancer quelques gentils mots au public à la place de la harangue classique entre les morceaux, les membres du groupe discutent entre eux et, à aucun moment, le souffle du rock n’ roll ne se fait vraiment ressentir… Mais le sujet est précisément ailleurs. Encore plus planant sur scène que sur disque, les morceaux d’Ulver s’étirent, les samples de cuivres et les beats electro s’entremêlent avec a batterie, la voix vaporeuse de Garm nous transporte et les vidéos estampillées National Geographic (!?!) finissent de nous trimballer. Seuls petits bémols : la difficulté de rentrer dans la musique des norvégien dans un tel fest (mais je me répète) et l’absence de morceaux tirés de Marriage of Heaven and Hell dans la set list (mais y avait du Perdition City, ouf !).

Je n’avais entendu que du bien de ce groupe sans jamais n’avoir écouté une seule note de leur musique. Intrigué par l’engouement autour du combo norvégien je vais donc avec intérêt découvrir la prestation sous la Rock hard tent. Vidéo projections plutot poétiques dans l’ensemble, des lights épurées et collant parfaitement a l’ambiance des morceaux, à savoir planantes, et un univers musical bien marqué dans lequel le groupe nous fait totalement entrer. Si je n’ai pas toujours comprit où ils voulaient en venir musicalement parlant, je m’incline devant l’originalité et la maitrise de leur sujet, et je ressort, relativement surpris, et agréablement qui plus est. Je vais devoir rattraper mon retard et écouter la discographie a rallonge du groupe pour mieux appréhender leur musique captivante.

 

FEAR FACTORY

Main Stage 01 / 23h35

Je vais faire plaisir a Sepulturastaman, première impression : Burton chante toujours aussi mal. Et la musique des gros ricains (j’insiste sur l’adjectif) avec le retour de Dino Cazares et de Gene Hoglan dans les rangs (comme à la grande époque) a prit un bon coup de vieux. Les gros tubes d’antan font cependant plaisir à entendre, mais on notera une déconfiture sur les plus récents (autrement dis ceux que je n’ai pas reconnus) et un manque d’entrain général. C’est mou tout ça.

 

BIOHAZARD

Main Stage 02 / 00h55

Je vais éviter les allusions à la vie sexuelle… heu professionnelle du chanteur et de sa femme du combo ricain. Mais vous parler d’un show, malgré le froid de canard- chaud bouillant !!! Ca fait du bien de voir les vieux gaillards toujours prêts à en démordre, même si on sent un petit côté rodé et plus aussi naturel qu’ils devraient être. N’étant pas fin connaisseur du groupe j’avais cependant envie de me plonger dans ce qui à fondé le HxC que nous connaissons aujourd’hui, et de profiter d’une bonne ambiance et de leur unique date cet été en Europe. Le temps glacial aura raison de moi mais j’aurai tout de même bien apprécié les classiques du groupe et l’attitude un peu ‘bad boy’, qui a un peu vieilli malgré tout.

 

1 COMMENTAIRE

cglaume

cglaume le 09/10/2010 à 09:30:31

Ouiiiiiiiiin, pas une ligne sur la prestation de Gorod !!

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