No Compromise - 6 billions failures (work in progress)
Chronique CD album (28:10)

- Label(s)
Disagree Records - Lieu d'enregistrement Au 4 studio par Christian Carvin.
5 /10
No compromise est né en août 2000 et a vu passer en son sein des membres de groupes tels que First Blood, Insane, Gift of fury ou encore Inside conflict. Apres de multiples enregistrements, ils nous reviennent avec « 6 billions failures ». C´est un disque assez bien produit qui oscille entre un old school à la Biohazard et un métal hxc lorgnant du coté d´ Earth Crisis et consort. Seulement, les compos de No compromise sont peut être un peu trop brouillonnes.
Les designs du livret et de la pochette sont complètements ratés à mon goût. La pochette est vraiment laide, il en est de même pour le livret qui est complètement vide (enfin il y a les paroles, c´est toujours ça). « Fucking head off » est le premier titre du disque, dans cette chanson le chant et la musique sont carrément old school (bons backing vocals, et bonnes rythmiques punk hxc) mais le tout reste un peu trop conventionnel. Le rythme s´accélère dès le début de « Graveyard of honor » (chanson qui semble être inspiré d´un film de Kinji Fukasaku, le cimetière de la morale). La voix y ressemble beaucoup à du biohazard. Il en est de même pour la chanson suivante. Ensuite, « Broken » est beaucoup plus brutal. Il y a du bon dans ce groupe mais il manque le truc en plus. La voix est souvent trop grave, il lui manque des parties aigus et des refrains plus marquants. Les chansons de 6 billions failures semblent être souvent empreintes de connotations cinématographiques. Certaines judicieuses d´autres plus douteuses.
La chanson « The art of being number two » cristallise parfaitement les défauts de No compromise. En effet, on a l´impression d´entendre un sous Evan Seinfeld (chanteur/bassiste de Biohazard) au chant lors des couplets et les paroles sont vraiment nazes (avec des métaphores toutes pourries sur Star wars). Les tempos sont peut être souvent trop similaires d´une chanson à l´autre. On retiendra tout de même quelques bons titres tels que « Graveyard of Honor », « Where old heroes die » ou encore « The backline ».
Les designs du livret et de la pochette sont complètements ratés à mon goût. La pochette est vraiment laide, il en est de même pour le livret qui est complètement vide (enfin il y a les paroles, c´est toujours ça). « Fucking head off » est le premier titre du disque, dans cette chanson le chant et la musique sont carrément old school (bons backing vocals, et bonnes rythmiques punk hxc) mais le tout reste un peu trop conventionnel. Le rythme s´accélère dès le début de « Graveyard of honor » (chanson qui semble être inspiré d´un film de Kinji Fukasaku, le cimetière de la morale). La voix y ressemble beaucoup à du biohazard. Il en est de même pour la chanson suivante. Ensuite, « Broken » est beaucoup plus brutal. Il y a du bon dans ce groupe mais il manque le truc en plus. La voix est souvent trop grave, il lui manque des parties aigus et des refrains plus marquants. Les chansons de 6 billions failures semblent être souvent empreintes de connotations cinématographiques. Certaines judicieuses d´autres plus douteuses.
La chanson « The art of being number two » cristallise parfaitement les défauts de No compromise. En effet, on a l´impression d´entendre un sous Evan Seinfeld (chanteur/bassiste de Biohazard) au chant lors des couplets et les paroles sont vraiment nazes (avec des métaphores toutes pourries sur Star wars). Les tempos sont peut être souvent trop similaires d´une chanson à l´autre. On retiendra tout de même quelques bons titres tels que « Graveyard of Honor », « Where old heroes die » ou encore « The backline ».
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