The Dark Prison Massacre - Secret of Black Silk Stockings

Il paraît que les Chinois sont les champions toutes catégories de la contrefaçon... C'est pas faux. Après s'être attaqué à l'industrie textile, à l'automobile, la pharmaceutique... L'empire du communisme de droite s'en prend au Brutal Death... La provenance est p't être "exotique", mais la musique, elle, ne casse pas quatre pattes à un canard... Laqué!

The Dark Prison Massacre fait partie de ces groupes sans grand intérêt qui pompent, repompent et surpompent le Brutal Death US tel qu'il a été forgé par Disgorge, Devourment et bien d'autres. La liste est infinie et elle se rallonge tous les jours... On s'enfile donc neuf chansons de BrooooOOOOOooooOOOOOooOOOOOoooOOOOoootal Death Metal assez grassouillet et gerbouleux qui barbote tristement dans une marmite où s'entrechoquent des lambeaux de Lust Of Decay surcuit, de Carnal paralytique et de rares touffes de Cinerary à la verve molle... Voilà...

Ca gruike bêtement, la pochette est grotesquement pornogore, la boite à rythme est – sur la première moitié de la rondelle – globalement bien programmée, les riffs sont passables.... Voilà, voilà... La prod est aussi stérile que banale

Pfff... Si vous êtes un aficionado de cette chapelle-là, si le fait d'écouter toujours la même popote par des groupes différents ne vous chiffonne pas trop, si les intros de films de boules en Chinois vous stimulent le nem... Oui, cet album de The Dark Prison Massacre pourra vous séduire... Par contre si ces essaims de clones ne vous inspirent rien, ne perdez pas votre temps avec Secret Of Black Silk Stockkings (oui, avec la faute)... Et retournez esgourder les pionniers qui – eux – proposaient quelque chose de nettement plus vivant.

Un album fadasse, la photocopie de l'énième mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie d'une mauvaise photocopie de Brutal Death bas de plafond...

On va s'arrêter là.

Cobra Commander

le 21/09/2011