Cidre Et Dragon (Eluveitie + Grailknights + Haeredium) le 16/09/2017, Stade, MERVILLE-FRANCEVILLE (14)

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Septembre 2006, un tout jeune festival nommé Cidre Et Dragon naissait dans les terres bas-normandes, où la part belle était donnée au jeu de rôle, le médiéval et l'heroic fantasy. C'était un petit événement en soi, la thématique n'étant pas si courante à l'époque. Je me souviens avoir foulé les pavés de Merville-Franceville, petite ville au bord de plage entre Caen et Cabourg, à cette époque, du haut de mes 17 jeunes printemps. Les stands et autres échoppes médiévales étaient côtoyé par promeneurs en civil et autres troubadours s'essayant aux tenues des temps anciens pour le fun et/ou pour le jeu grandeur nature. Avec en bonus, un petit concert le samedi soir mené de fer de lance par le Naheulband et Belyscendre. Un très beau moment tout en jambon et hypocras où les cracheurs de feu faisaient office de feux d'artifice « de fortune ». Après, la vie a été ce qu'elle a été : j'ai quitté ma région natale pour mes études et Cidre Et Dragon a en parallèle perduré, évoluant d'édition en édition, passant de petit festival modeste et sympathique présent tous les deux ans à un nom annuel plus référentiel dans les milieux rôlistes, de la reconstitution historique, médiévaux, heroic fantasy, vikings et même steampunks. Même si entre temps, il m'était bien arrivé de revenir jouer les flâneuses du dimanche depuis toutes ces années, il a fallu attendre 11 ans pour que je remette les pieds dans le stade accueillant les concerts du festival, oscillant avec les années entre programmation folk et une autre plus orientée metal Corvus Corax, Orphaned Land ou encore Van Canto entre autres ont déjà joué sur ces mêmes planches les éditions précédentes.

 

Avant de rentrer dans le stade où se déroule toutes les frasques sonores du festival, il était de bon ton d'arriver plus tôt, histoire de se balader tranquillement dans la ville rebaptisée pour l'occasion Merravilla. L'année précédente, Cidre Et Dragon, fêtant ses dix bougies d'existence, réussissait le tour de force d'aligner au total un transit de presque 100 000 personnes sur le weekend, un chiffre qui n'avait encore été jamais atteint, alors que les conditions météorologiques étaient plus que mauvaises. Force est de constater qu'il y a cette même répercussion positive cette année où le flux devait être similaire en terme de chiffres, avec une météo bien plus clémente, le tout en conservant une ambiance fort sympathique malgré qu'on se voit vite confronté aux problèmes de confort inhérents à une forte peuplade sur un périmètre somme toute restreint. Se mouvoir sur l'allée principale du marché médiéval se révèle rapidement être un véritable parcours du combattant tant la foule est dense, les distributeurs sont pris d'assaut pour une bonne dilapidation dans les règles de l'art et il s'avère vite que l'aspect commercial a pris un pli autrement supérieur à l'aspect jeu de rôle grandeur nature qui est pourtant un fer de lance de l'événement et sa spécificité propre. Il est vrai que si l'on ne savait pas ce détail, on aurait plus tendance à penser qu'on se retrouve à déambuler dans un simple marché médiéval géant. Par chance, malgré ces gênes, l'ambiance reste bon enfant et chaleureuse : les gens costumés jouant le jeu sont nombreux et il n'est pas rare de croiser potes et connaissances présents pour l'occasion en tant que bénévoles, rôlistes, ou encore simples touristes. Le temps de baver avant de se souvenir fatalement d'une dure réalité de la vie, à savoir que vouloir se la péter cosplayeur paresseux s'affublant de costumes tout prêts ne s'improvise pas sans compte en banque bien garni, l'appel des stands de bouteilles s'impose vite être la destination de choix afin de faire ses réserves d'hypocras et de chouchen jusqu'à la fin de l'année. Une rue annexe est aménagée spécialement pour les jeunes enfants et les jeux en général pour grands enfants, fait un peu dommageable qu'il amène cet aspect rôliste davantage au second plan. Le temps de s'imprégner de la foule, des costumes, des déambulations de trolls ou de défilé de pirates et l'on finit enfin par arriver au bout de l'avenue principale. La statue de la mascotte du festival y trône fièrement, un grand dragon rouge dont son aspect majestueux est remis en cause dès lors qu'on apprend son petit nom, Merguez. Face à la mer, sur la plage, s'érige un camp viking – notre Cromy s'y cachait-il, telle est la question – où ses représentants passent leur temps à flemmarder, s'amuser et pratiquer l'artisanat traditionnel d'époque. Et enfin, pile en face des Nordistes en herbe sont disposés les terrains du sport local rôliste, le trollball. La plage qui accueille le soir post-concert venu, une petite veillée où l'on conte officiellement de belles histoires, officieusement la cuite de tous les festivaliers les plus courageux et autres bénévoles et membres de l'organisation.

 

C'est qu'à force de se promener et papoter à droite et à gauche, l'heure du concert finit par arriver. Direction, le stade, histoire au passage de s'octroyer un break en terme de monde grouillant puisque le lieu des concerts n'est équipé que pour accueillir une capacité réduite de spectateurs – 3500 au final selon les billets vendus – et ce, même s'il pourrait se permettre aisément d'en loger 10 000, voire 12 000. Avant que l'affiche ne commence, Mandelisse, la responsable de la programmation, prend le micro, histoire de présenter en quelques mots l'affiche et faire monter fièrement la hype. Car Eluveitie est sans aucun doute le groupe le plus populaire que le festival ait pu accueillir jusqu'à maintenant – même si ça aurait pu être également les pirates d'Alestorm si le planning de ces derniers l'aurait permis – et permet même de teaser sur un futur montrant un désir certain d'ambitions revues à la hausse. Et il est vrai qu'entendre des noms comme Alestorm ou encore Equilibrium peut faire rêver. De même que vu l'événement, on pourrait également fantasmer de voir apparaître du nom encore plus prestigieux tels Amon Amarth, Dead Can Dance ou encore Blackmore's Night. Malheureusement, il faut admettre qu'avant de songer à ce genre fantasmes, il faudrait revoir l'organisation à la hausse afin d'être à la hauteur : une capacité de spectateurs augmentée, plus d'installations (toilettes, restauration, buvettes), une communication plus ciblée envers les spectateurs potentiels enclins à faire le déplacement et surtout, une plus grande scène. Car penser que cette scène toute modeste sera foulée dans quelques heures par un combo comprenant neuf personnes et tout le matériel spécifique qui va avec, il faut admettre qu'on ne peut qu'appréhender la chose avec quelques craintes.

 

Trêve de sentiments méfiants, les Alsaciens de Haeredium entrent en scène dès la fin du discours introductif. Fort d'un seul et unique album, Aurora, sorti il y a trois ans, le quintet tout droit venu de l'est semble très heureux d'avoir fait toute cette route afin de rallier l'ouest. Le public lui rend d'ailleurs fort bien la pareille car il se montre à fond dès les premières notes, quand bien même il ne connaît pas forcément cette première mise en bouche. Ni même moi d'ailleurs, si l'on excepte « Elixir », présenté comme étendard dans la vidéo de présentation du concert du festival sortie cet été. Guère de hasard sur ce choix en particulier vu que le titre se présente comme un très bon hit folk metal, plutôt doucereux par rapport à d'autres acteurs du genre mais fort efficace et catchy, tant dans sa version studio que sur les planches. Haeredium est une excellente surprise d'ailleurs, quand bien même le son ne lui rende pas totalement honneur, tant il est borderline en terme de saturation et pas toujours très bien mixé. Entre une communication joviale et son répertoire fort sympathique et varié, les Alsaciens sont tout aussi à l'aise à passer dans un folk un brin pirate à des choses bien plus ancrées sur le médiéval, à grands renforts de sonorités d'instruments traditionnels samplés sur clavier ou même via une véritable flûte et d'approches tantôt mélodiques tantôt directes. Il emprunte d'ailleurs l'idée de la tête d'affiche de ce soir le chant en plusieurs langues (anglais, français et allemand) qu'il maîtrise assez bien afin d'amener une certaine cohésion entre instrumentation et caractéristiques propres du langage utilisé. L'exemple le plus parlant étant sans doute « L'Homme De La Taverne », titre folk aux inspirations un brin « keuponne à la française ». Un bon moment au final et un très bon coup d'Haeredium qui a visiblement su très bien tirer son épingle du jeu en touchant un nouveau public sensible à sa cause. Notez d'ailleurs que les Alsaciens ont sorti il y a peu un petit et modeste Vlog sur sa petite escapade normande.

 

A supposer que l'Alsace/Lorraine soit française, on passe de l'autre côté de la frontière avec les Allemands de Grailknights, tous collants moulants et flashys de super-héros dehors. Le son, entre temps, reste constant par rapport à précédemment et crachotte toujours un peu trop, le gain n'ayant pas été diminué. Malgré tout, ce n'est pas forcément pour ça que je n'ai guère été convaincue de la prestation. Voyons... Peut-être était-ce parce que je n'arrive pas à voir le rapport entre l'univers comics et la thématique du festival ? Surtout lorsque l'on sait que la potentielle ouverture à l'univers post-apocalyptique – pourtant de plus en plus représenté dans l'univers du jeu de rôle, qu'il soit GN, papier ou sur plateau – a fait un brin jaser au sein de l'organisation avant d'être mis de côté. Peut-être parce que j'ai eu fort du mal à voir la cohésion entre son imagerie où les super-héros sont au cœur de leur concept et leur musique majoritairement power metal assez classique et plus encline à une imagerie heroic fantasy ? Peut-être parce que j'ai eu du mal avec le contraste entre les interventions assez follettes en terme de jeu de scène (qu'ils désirent présenter de manière théâtrale et « scénarisée ») et la musique qui sortait des amplis qui se révélait bien plus sérieuse, à quelques exceptions près ? Bref, il y a plein de choses dans cette prestation qui m'ont chiffonné au point d'en rester fort perplexe. C'est qu'après tout, leurs compatriotes Edguy s'y sont essayés à cette thématique comics avec Rocket Ride (2006) et se sont montrés bien plus convaincants, tant sur la musique que sur le délire et le second degré. Heureusement, certains passages arrivent à divertir et amener cohésion entre son, concept et humour, telles les ambiances d'introductions et autres transitions un brin marvelisantes ou encore la reprise qui n'est nullement un placement de produit Doritos de « I Need A Hero » de Bonnie Tyler interprétée en duo avec... Mandelisse de l'organisation du festival herself ! En plus de ne pas se débiner et être convaincante dans son rôle ponctuelle de chanteuse – sans la permanente de l'interprète originelle, fort heureusement – voilà qui ajoute un capital sympathie indéniable à Cidre Et Dragon tant c'est une preuve que, même du côté des coulisses, alors qu'on imagine le facteur stress à son paroxysme, l'ambiance reste fort bonne. Malgré ces quelques points positifs, cela ne change pas le fait que je sois ressortie de la prestation pas mal sur le carreau et dubitative.

 

Après cette seconde mise en bouche en demi-teinte, il est temps d'arriver au gros du morceau. Et passer encore une fois une frontière pour aller du côté de la Suisse. J'avoue très franchement qu'Eluveitie n'est pas forcément ma tasse de thé, à quelques hits faisant exception, ni même le folk metal en général. Toutefois, la dimension live apporte un bonus non négligeable à l'appréciation, de même que je n'allais pas cracher sur un groupe d'une telle réputation que je n'avais jamais vu sur les planches jusqu'à maintenant alors qu'ils passent juste à côté de chez moi. Un fait qui m'aurait semblé bien saugrenu et inimaginable alors que j'étais encore lycéenne et que le groupe attirait moult déferlements dans le cœur des amateurs de folk metal. Le temps de nourrir de nouveau les craintes du démarrage par rapport à la petitesse de la scène par rapport à Eluveitie qui fait plus office de mini-régiment que de groupe classique ainsi que de nouvelles vis-à-vis du rendu sonore nourries par le fait que celui-ci ne s'est pas révélé hyper folichon depuis le début de soirée qu'on finit par les reléguer au placard. La pluie commence en effet à jouer les trouble-fêtes et reste par chance simplement crachinante et finalement peu gênante même si elle s'étend sur tout le long de la dernière prestation de l'affiche. Bienvenue en Normandie après tout ! Lorsque la tête d'affiche entre enfin en scène, il s'avère étonnant qu'ils ne semblent pas si tassés qu'on pouvait l'imaginer sur une surface si réduite. Malgré tout, on pourra trouver dommage que les membres relégués en arrière-plan de la scène soit si peu visible à cause des lights. Et l'on pestera sur le son également qui, sans surprise, n'a pas revu son gain à la baisse et semble peu maîtrisé en terme de mixage, tant les instruments traditionnels se trouvent noyés dans la masse la plus électrisante. Voilà qui enlève un brin de charme à la musique d'Eluveitie qui nous livre un show carré et très professionnel. Peut-être un peu trop tant le combo semble être plus dans l'optique de jouer ici « une date parmi d'autres », même s'il communique un peu et nous livre quelques mots doux d'usage. Un petit côté automatique qui ne change en rien l'efficacité de sa musique sur les planches qui s'attire les bonnes grâces du public malgré qu'il se fasse lessiver la tête. Parfois pogotant, il s'avère qu'il se voit malheureusement privé de slams de par une sécurité trop zélée et craintive de cette coutume. Les anciens titres, qu'ils soient mélodiques ou plus extrêmes, côtoient quelques nouveaux titres de son tout nouvel album, Evocation II, faisant suite aux délires acoustiques de son grand frère pleinement orientés folk, qui montrent un futur plutôt sympathique – et me donnerait carrément l'envie de m'y plonger plus sérieusement, préférant cette facette plus doucerette – pour les Suisses ayant essuyé il y a encore peu de temps d'un changement assez important de line-up. Des nouveaux membres, dont une nouvelle vocaliste (changement important s'il en est), qui semblent plutôt bien acclimatés à leur nouvelle bande et s'approprient bien son registre. Il ne fait aucun doute que certains regretteront l'ancienne figure vocale, maintenant occupée avec un autre groupe nommé Cellar Darling qu'elle a fondé avec deux de ses anciens camarades d'Eluveitie, je dois bien admettre que sa remplaçante réussit à se montrer fort convaincante également. Eluveitie nous livre au final un bon set malgré un son pas forcément à la hauteur et aura réussi à divertir la foule au taquet malgré le crachin. Un très bon moment, même si une sensation d'implication supplémentaire de la part du combo, l'aurait rendu carrément inoubliable. Et après un rappel où est interprété « Inis Mona » qu'il aurait été carrément blasphématoire d'oublier, surtout aussi près du territoire breton comme nous pouvons l'être et les Suisses s'en sont allés, nous laissant fort satisfaits et motivés à finir les stocks entamés de la buvette qui commence à remballer son paquetage.

 

PS : Un grand merci à l'organisation pour l'événement, m'avoir récupérer cette présente setlist et m'avoir permis « d'emprunter » quelques photos.

 

Setlist

 

  • Your Gaulish War
  • King
  • Nil
  • Omnos
  • Lvgvs
  • Catvrix
  • Artio
  • Epona
  • Thousandfold
  • The Call Of The Mountains
  • A Rose For Epona
  • Kingdom Come Undone
  • Tegernako
  • Havoc
  • Helvetios
  • Inis Mona (Rappel)

 

Crédits Photo

 

Noé Rioult : Facebook et Flickr

Brigitte Jean : Site personnel

photo de Margoth
le 11/10/2017

Les photos

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4 COMMENTAIRES

cglaume

cglaume le 11/10/2017 à 12:34:35

Bon alors: il était là Cromy, le viking des alpages ? :)

Crom-Cruach

Crom-Cruach le 11/10/2017 à 15:23:19

Naon trop loin pour oam hors période de vacances et je ne sais plus quelle troupe y était... Sinon Evocation II est une horreur.

Margoth

Margoth le 12/10/2017 à 13:26:33

Eh bien, en tant que troupe, je pense que tu serais resté perplexe sur l'orga de cette année tant ils n'ont pas été très au taquet niveau animations par rapport aux années précédentes d'après ce que m'a dit une pote qui était au camp viking (je ne me souviens plus du nom de sa troupe en revanche).

Crom-Cruach

Crom-Cruach le 16/10/2017 à 12:24:00

Bon faut dire que Med Fan et troupe viking ne fait pas bon ménage en général. Certaines troupes sont très snobs en fait. Ce qui n'empêche pas de faire son taff quand on est en presta.

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