We were strangers when we met (Hey David Bowie !) - David live

We were strangers when we met (Hey David Bowie !) David live (dossier)
 

 

DAVID LIVE : Les 5 albums live (officiels) à ne pas rater

 

Il n’y a pas à dire, pour de nombreux morceaux leurs versions live surpassent largement celles des albums. Pour beaucoup d’entre eux d’ailleurs. Par contre de tels propos ne peuvent être tenus qu’au regard de périodes bien ciblées. Oui en fonction des tournées, et des époques, le même morceau pourra également être malmené. Mais c’est en piochant dans tous ces disques live que l’on pourra trouver leurs versions absolues et définitives. Dans « tous », mes dans lesquels me direz-vous ? Parce que c'est maintenant un peu le bordel quand on souhaite s'y pencher.

 

De 1967 à 2016, soit 49 années, 9 albums live officiels.

De 2016 à 2021, soit 6 années, 13 albums live « officiels ». Entre versions « Record Store day », « édition limitée », « édition normale », « édition extraite d’un coffret », « édition qu’on ne peut plus trouver qu’en streaming par ce que les éditions limitées sont dès le lendemain de leur sortie introuvables », etc. Entre périodes ultra couvertes, d’autres oubliées, lives identiques, petites pépites cachées dans un album, prestations ou setlist par vraiment mémorables… si tous ont leur intérêt historique, pour les mordus, pas facile néanmoins de s’y retrouver ou de trouver la porte d’entrée.

 

Mais ça y est, vous êtes au bon endroit, plus besoin de chercher, voici les 5 albums live officiels à ne pas rater !

 

 

1 : Ziggy Stardust and the Spiders from Mars : The Motion Picture Soundtrack (1983, 2003 & 2015)

 

« Gimme your hand ‘cause you’re wonderful »

 

Ce live sorti en 1983 est l’enregistrement en 1973 à l’Hammersmith Odeon, à Londres, du dernier concert du personnage qui lui collera à la peau pour toute sa vie : Ziggy Stardust. Personnage avec qui il vécut pourtant seulement à peine deux ans, et en cohabitation avec le plus déluré Aladdin Sane. Mais c’est ici toute une époque, avec tant de choses à dire par ce disque, sa musique et sa captation vidéo.

 

Niveau musique, on y trouve une interprétation excellente de titres futurs-intemporels, une set-list calibrée pour un concert prévu pour être exceptionnel avec des titres futurs-intemporels. Par exemple, de toutes les versions entendues je ne trouve pas meilleure interprétation de "Time", le temps y est justement, suspendu, où le public est scotché à chacun des mots, des mouvements de Bowie, à chacune des notes lâchées par Mick Ronson. De même lors de la reprise en milieu de set de Jacques Brel, "La Mort", ici en version anglaise "My Death" (transcrite par Mort Shuman, et je ne sais pas s’il y a lien entre la chanson et le prénom, sûrement pas mais ça tombe bien) quant à la fin du morceau il laisse le dernier vers, « for in front of that door, there is… », en suspension ouvrant la porte au public en transe de hurler différents « ME », « Me », Meeeeeeeeeeeeee » qui doivent encore résonner dans leurs chairs. Je m’emporte. Et je ne parle même pas du grand final du concert qui est encore un niveau au-dessus. Les 5 albums depuis 1969 y sont représentés, accompagnés de reprises, chose que Bowie fera tout au long de sa carrière, avec Brel comme évoqué, et également le morceau qu’il reprendra toute sa vie, "White Light/White Heat" de Lou Reed période Velvet Underground (il rapprochera fréquemment les texte de Lou avec ceux de Jacques). Un concert définitivement magique.

 

Niveau image, un côté brut aux moyens de l’époque par un D.A. Pennbaker initialement sollicité pour ne filmer que quelques morceaux mais qui à partir de 8h au soir capta l’intégralité des dernières heures de ce 3 juillet 1973. Si on peut y voir les yeux du premier rang hypnotisés par les musiciens sur scène, un changement de tenues tout au long du set vingt ans avant Axl Rose, les éclairs électriques rouges en fond de scène vingt-trois ans avant Marilyn Manson, on y voit surtout un groupe et un Bowie tous au top de leur forme. Ce concert s’inscrit dans la tournée des albums Ziggy Stardust-Aladdin Sane, ce dernier sorti 4 mois auparavant, et n’était pas prévu – au moins par le label – pour être le dernier. Artistiquement Bowie a déjà sorti 6 albums depuis 1967, s’il a connu un succès passager avec le titre "Space Oddity" pour cause d’actualité lunaire en 69, ce n’est qu’en 72-73 qu’il touchera la réussite commerciale. Si lors de sa quête, lui et sa musique avaient déjà plusieurs fois mutés, Bowie semblait avoir trouvé ce qu’il cherchait, être identifié. Maintenant qu’il l’était, il choisit de détourner l’orbite et de faire exploser son succès en poussières d’étoiles. Il l’avait annoncé dès 1972, à la fin du morceau "Ziggy Stardust" : « When the kids had killed the man/I had to break up the band ». Il l’avait annoncé dès 1972, à la fin de l’album The Rise and Fall of Ziggy Stardust qui se concluait sur le titre "Rock ‘n’ Roll Suicide". En 1973 il le fait, et ce sera sur ce même titre qu’il terminera cette tournée, ce concert, ce concept, pour se libérer du personnage maintenant encombrant de rocker de l’espace, précédé cette nuit de ce speech historique : « Of all the shows on this tour, this particular show will remain with us the longest, because... Not only is it the last show of the tour, but it's the last show we'll ever do. Thank you ». Stupéfaction dans la salle. Certain pensant que c’était David Bowie qui arrêtait les concerts. L’histoire prouvera que l’on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même et que c’était à lui, David Bowie - et pas aux fans, au label, ou aux médias - de tuer sa créature, et surtout avant que ce ne soit elle qui le fasse.

 

De cette époque, certain préféreront le Live in Santa Monica ’72, plus « cru »/agressif, mais il n’y a pas la même magie, pas encore les morceaux d’Aladdin Sane qui ne sont pas encore sortis, pas de vidéos, et pas le même impacte historique. Il reste néanmoins vivement recommandé.

 

Le vinyl  original est historique avec la photo de couverture en plein affichage mais avec un son pas au top, un titre modifié dans l’ordre du concert (pour cause de durée des faces du disque) et un autre amputé (pour la même raison, à savoir "The Width of a circle" et ses 15mn45 initiale) ; le son de la réédition des 30 ans du concert en vinyl est mauvais (mauvais pressage sur la version numérotée), par contre celui du CD (remixé par Tony Visconti) est ultime (malgré le medley de trois chansons découpé en trois pistes ce qui est mauvais pour faire ses compilations en mode aléatoire et qui peut créer sur les lecteurs de qualité moyenne un saut ou un blanc dans l’enchainement du medley) ; je n’ai pas écouté la réédition de 2015 proposée dans le coffret Five Years (et disponible hors coffret je crois).

 

Les 3 titres à écouter en priorité :

(Farewell Speech) "Rock ‘N’ Roll Suicide"

"Time"

"Watch That Man"

"Moonage Daydream"

 

 

 

2 : A Reality Tour (2010)

 

« Hot tramp I love you so »

 

En premier c’était la dernière tournée de Ziggy Stardust et les Spiders From Mars, ici en second c’est la dernière tournée de David Bowie. La dernière… Si ce concert de plus de deux heures fait la part belle aux deux derniers albums d’alors, Heathen puis Reality (dix titres sur les trente -je ne tiens pas compte des cinq titres bonus, trois sur le CD, + deux sur la version streaming) il représente néanmoins très bien l’ensemble de sa discographie.

Tournée néanmoins aux allures« best-of » certes, mais décomplexée quand même. Ayant assez de morceaux au compteur il peut choisir aisément et jongler facilement entre tubes évidents et morceaux beaucoup moins single-isés. On ne peut que voir les morceaux choisis comme étant ceux qu’il aime jouer, sans aucune pression. Si certain regrettons l’absence de "Space Oddity", "Let’s Dance", "Modern Love", ou "Starman", c’est avec plaisir que l’on découvre ou redécouvre ici en 2020, "Be My Wife" de Low, "Five Years" de The Rise and Fall of Ziggy Stardust and The Spiders From Mars, "The Motel" de 1.Outside, "Battle For Britain (The Letter)" de Hearthling, la rareté "Fantastic Voyage" de Lodger voire même "Sister Midnight" co-écrit avec Iggy Pop sur l’album The Idiot de ce dernier. Même si pour "Sister Midnight" le choix de le placer si tôt, en sixième morceaux, casse un peu la dynamique résolument « rock » de cette tournée. Cette tracklisting et cette dynamique live donc, permet d’apprécier davantage les titres de Reality, un album assez, « convenu » pour ne pas dire moyen. Intelligemment il zappera l’album ‘hours…’ (encore plus « convenu » et là vraiment pas terrible), donnera une seconde vie à des morceaux grâce à de nouveaux arrangements comme "Loving The Alien" (de son plus mauvais album, c’est dire s’il doit l’aimer ce morceau), "Rebel, Rebel", ou "Life On Mars".

 

Alors certes ce live en mode « big band » qui en fait parfois un peu trop ou pas assez, pas tout le temps au bon moment (des notes piano inutiles lancés par-ci par-là, une guitare acoustique parfois trop présente en fond, tout le monde présent quand il faudrait pour certain s’effacer, des arrangements lissés qui parfois étouffent le relief du morceau) donne à ce A Reality Tour des airs de Flashpoint des Rolling Stones, il n’en reste pas moins un très bon moment où l’émotion reste présente. Le DVD appuie cette sensation. Bowie ne faisait pas de la figuration. Ce qui nous amène à l’un des moments fort de ce live, "Under Pressure" avec Gail Ann Dorsey au second chant. L’échange vocal est FANTASTIQUE. La bassiste livre une prestation vocale émouvante, magique. Impressionnante, inégalée. Encore au-delà de la version originale enregistrée par Freddie Mercury. Comme pour certains morceaux de, par exemple Dominique A. ("Ce Geste Absent", "Il ne Dansera qu’Avec Elle"…), je n’arrive toujours pas à comprendre comment on peut interpréter de telles parties vocales en concert jusqu’au bout sans être emporté par la force du morceau. (Une autre prestation vocale incroyable de Gail Ann Dorsey avec David Bowie peut s’écouter sur le live - posthume - Look At the Moon ! (Live Phoenix Festival 97) avec l’incroyable reprise de Laurie Anderson, "O Superman")

 

Et puis quel bonheur ces lives comme ici qui ne coupent pas les interventions du chanteur entre les morceaux. On y entend les échanges avec le public d’un chanteur heureux de chanter ces/ses chansons, d’être là, tout simplement. Les nombreux concerts « non-officiels »/pirates/bootlegs montrent bien que c’était son habitude et pas seulement réservé à ceux planifiés pour être enregistrés et diffusés. No fake.

Seul point désappointant, pourtant habituellement utilisé pour les rééditions (celles en vinyl d’Obituary ou Dismember par exemple en souffriront) est la présence de titres bonus. S’il est regrettable qu’un morceaux comme "5:15 The Angels Have Gone" soit en bonus et non pas dans la set list, ces titres « collés » à la fin du concert nuisent à l’écoute. Le concert se terminait sur "Ziggy Stardust", le CD et le streaming devait s’arrêter sur "Ziggy Stardust". Le concert, l’histoire de cette soirée avait un début et une fin et il est fort dommage d’avoir voulu y greffer une rallonge. Ce final, sur ce morceau, est grandiose, il ne devait ensuite rester que le silence.

 

Les 3 titres à écouter en priorité (exclus les bonus sinon y figurerait "5 :15 The Angels Have Gone") :

"Under Pressure"

"Sunday"

"Heroes"

 

 

 

3 : Bowie at the Beeb (The Best of the BBC Sessions 1968-1972) (2000)

 

« Time may change me, But I can’t trace time »

 

De la dernière tournée on rebondit aux premiers live. D’une version « big band » on revient à une version et à une époque plus, « simple », plus, « fraîche ». La qualité de ces enregistrements à la BBC est étincelante. On y trouve ses premiers morceaux que l’on peut apprécier débarrassés de leur production bouffies du premier album de 1967, des morceaux qui ne figureront pas sur les albums à suivre, la première apparition de l’architecte des futures Spider From Mars, à savoir le guitariste Mick Ronson (plus que fraîchement débarqué, je crois que c’est en heures qu’il faut compter le temps qu’il a eu pour apprendre les morceaux avant sa première prestation), l’évolution de l’écriture et de la voix de Bowie, les premières interprétations de morceaux qui deviendront intemporels, une version de "Ziggy Stardust" (une des meilleures) avec des harmonies qui seront malheureusement par la suite oubliées, les reprises qui l’accompagnerons toute la suite durant (Brel avec "Amsterdam", et Lou Reed avec "Waiting For The Man" et "White Light/White Heat")… Tout y est. Passé/présent/ébauche du futur. Chansons/prestations/distorsion d’origine/interview/présentations. En mode concerts sans fioritures par un groupe et des musiciens de très haut niveau, presque un hommage aux feu bons cafés-concerts qui avaient du bon son et une bonne programmation. C’est le ton et le son qui en ressort. Le tout en 37 pièces d’une histoire, encore aujourd’hui, à reconstituer.

 

Les 3 titres à écouter en priorité :

"Ziggy Stardust" (version 1/piste 4 du CD 2)

"In the Heat of the Morning"

"Lady Stardust"

 

 

4 : Glastonbury 2000 (2016)

 

« I fell looove in this room »

 

Live posthume que j’ai tout d’abord longtemps hésité à inclure, pour sa date de sortie et ce côté « c’est parti on surfe sur la vague et on met en vente tout ce qu’on a sur Bowie », et que, ensuite, j’ai longtemps hésité à placer en numéro 2 ici. Mais, il est vraiment, vraiment bon, et au final c’est vraiment bien de l’avoir en version officielle/propre. S’il n’est pas en numéro 2, à la place de A Reality Tour, c’est juste pour son tracklisting car il ne comporte pas de titres de l’album "Reality" ni de "Heathen" que j’affectionne tout particulièrement, et donc ne représente pas autant la discographie de David Bowie. Pourtant, certaines interprétations y sont meilleures.

 

Historiquement il vient de passer la décennie des 90’s dans la pratique de nouvelles machines et de nouveaux sons (electro/jungle/indus/jazz…), réinventant, à nouveau, sa musique et son personnage. Suite à la tournée « Best Of » Sound + Vison des débuts 90 pour accompagner la rééditions de ses albums, il avait fait un poing (! ) d’honneur à ne plus interpréter ses morceaux des 3 décennies passées. Si ce n’est 3-4 morceaux inclus par-ci, par-là, en versions plus ou moins transformées. Mais là, à l’aube des années 2000, il va être de nouveau père, a une vie rangée, est un mari heureux, est devenu businessman du web, et va se dé-transformer en, David Bowie, cinquantenaire. Ce package l’amène à sortir en 1999 un album de « pop à papa », le barbant ‘hours…’, et à revenir à des concerts aux playlists qui couvrent l’ensemble de sa discographie. Ceci l’amenant jusqu’à re piocher des morceaux de ses tout débuts, dans les années 60 (et qui nous amènera à l’album Toy qui les regroupera en versions réenregistrées en studio).

De ces morceaux choisis, avec des musiciens eux aussi choisis parmi ceux avec qui il a collaboré tout au long des précédentes décennies, accompagné de quelques nouvelles recrues, il en sort en ce début des années 2000 de superbes prestations d’où la joie, l’amour de la musique et des concerts, et le partage, émanent à chaque moment. En témoignent le concert Live à la BBC en 2000, sorti la même année en disque bonus avec les BBC Session mentionnées précédemment (et disponible en intégralité en 2021 dans le coffret Brilliant Adventures) et donc ce concert au Festival Glastonbury.

 

Et puis en plus du CD et du DVD on trouve dans le livret un « imprévu et impensable » carnet de bord de David Bowie depuis 2 mois avant le concert. Il y raconte sa préparation du groupe (et le bonheur de retrouver Earl Slick après presque 20 ans sans avoir joué ensemble) et des répétitions de 30 morceaux pour préparer le concert ; sa déception, après avoir été averti d’un couvre-feu (avec amende pour les organisateurs de 20 000 £ par minute dépassée), de devoir « amputer » sa set-list d’une douzaine de morceaux (dont certain moins connus du public mais qu’il affectionne particulièrement comme "Always Crashing In The Same Car") ; ses souvenirs de son précédent passage au festival de Glastonbury, en 1971, où là il n’y avait pas de couvre-feu – montant sur « scène » vers 4h du matin – où là personne ne connaissait ses chansons (il raconte ces souvenirs, très drôles, pendant le concert, à la fin du titre "Absolute Beginners") ; sa décision de jouer à nouveau des morceaux des années 70 qu’il avait mis de côté dans les années 90 ; et sa vie du quotidien.

Un superbe coffret qui montre bien que David Bowie est vivant. Et pour très longtemps.

 

Les 3 titres à écouter en priorité :

"Absolute Beginners"

"Ziggy Stardust"

"All the Young Dudes"

 

 

 

5 Ex-aequo : Live Nassau Coliseum ’76 (2010 & 2017) / Stage (1978, 2005 & 2017) / Welcome To The Blackout (Live London ’78) (2018)

 

 

Bon, plusieurs choses par rapport à ces 3 live regroupés ici et aujourd’hui en « numéro 5 ». D’abord, s’il n’y avait pas eu de décès en 2016, il est certain qu’au moins un d’entre eux serait « numéro 2 » d’un tel classement (mon « numéro 1 » étant indétrônable quelle que soit la situation) (et dans cette situation, Welcome to The Blackout… ne serait certainement pas sorti des archives puisqu’il a été publié de façon posthume). Effectivement si des disques comme A Reality Tour et Glastonbury sont plus hauts classés, il en va surtout de la communion entre le musicien et le public des concerts, et de l’auditeur des disques avec le musicien (le tout renforcé par les captations vidéos des deux prestations). Le partage et l’émotion ont pris le pas sur « l’artistique ». Parce qu’à ce niveau, ces 3 disques sont au moins un niveau au-dessus. Déjà ils sont excellents ; ensuite, ce sont des concerts tirés des tournées de promotion de 3 de ses plus grands album (Station To Station en 1976, Low et Heroes en 1977), et ça, ça vaut de l’or ; également, les musiciens et les interprétations y sont terribles ; et puis dans ces concerts David Bowie est au top de ses capacités pour les morceaux joués avec la liberté de modifier/transformer les lignes vocales par rapport aux versions originales ; pour finir, bien qu’en 76 et 77 il aurait déjà la possibilité de le faire au regard du nombre d’albums et de « tubes » déjà à sa disposition, nous ne sommes pas dans des concerts « best-of » mais bel et bien dans ceux d’un musicien qui continue d’aller de l’avant.

 

Les 3 titres à écouter en priorité :

 

Live Nassau Coliseum ’76 :

"Station to Station"

Le medley  "Life On Mars?"/"Five Years"

"Word On a Wing"

"Stay"

 

Stage :

"Station to Station"

"Heroes"

"Ziggy Stardust"

"Blackout"

 

Welcome To The Blackout (Live London ’78) :

"Station to Station"

"Blackout"

"Breaking Glass"

"Five Years"

 

 

 

 

P.S. : Si vous voulez une dose de Baroque ‘n’ Roll & Rebel Rebel Extravaganza (cf. chronique de Diamond Dogs) vous pouvez vous risquer à Cracked Actor (Live, Los Angeles '74) (2017)

 

 

photo de R.Savary
le 24/09/2022

5 COMMENTAIRES

Rafff R.Savary

Rafff R.Savary le 03/10/2022 à 21:03:57

Merci Pidji !

el gep

el gep le 04/10/2022 à 07:56:03

Ca c'est du dossier, Rafff, impressionnant ton boulot!

Rafff R.Savary

Rafff R.Savary le 04/10/2022 à 22:04:20

Merci el gep !

Freaks

Freaks le 05/10/2022 à 10:14:46

Impressionnant!.. Bravo Rafff!

Rafff R.Savary

Rafff R.Savary le 05/10/2022 à 18:32:54

Merci Freaks !
En espérant que ça vous fasse découvrir des morceaux, albums ou « moments/histoires » que vous ne connaissiez pas et qui vous bottent !

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anonyme


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