Napalm death - Bootlegged in Japan
Chronique CD album (71:21)

- Label(s)
Earache - Sortie
1998 - Lieu d'enregistrement le 5 Aout 96 au Liquid Rooms
6/10
(((Viking jazz))) vous les a présenté avec une version studio, moi je vais vous présenter NAPALM DEATH côté live.
C'est donc parti avec ce "Bootlegged in Japan". Déjà côté son, c'est vrai que ça pue le bootleg à plein nez : dans le plan purement musical, on entend d'abord la voix hyper distincte, en même temps la batterie avec un son plus elevé pour les percus en metal, puis derrière les guitaristes (que ce soit le bassiste ou les guitariste) rament pour être au même niveau sonore que le batteur et Mark Barney. Les guitares sont audibles mais à un niveau très inférieur, quand à la basse bah elle se retrouve noyée dans les guitares.
Le livret fait aussi typiquement pirate : composé de quatre faces, noir et blanc à l'intérieur, une photo de chaque membre, la playlist (en Japonais et en Anglais) et c'est tout.
Le mythique "scum" et "Diatribes" composent à eux seuls plus de la moitié de ce concert. Ne connaissant pas suffisamment Napalm je ne sait pas si les moeceaux sont mieux ou moins bien réalisés que dans leurs albums studios, je peux simplement vous dire que la transpiration du batteur n'est pas volée, Danny Herrera ne débande pas une seconde : c'est blasts à tour de bras, double à fond, les guitaristes riffent à qui mieux mieux, mais ne sont pas récompensés pour leurs efforts, et le chanteur s'égosille dans son micro avec une voix nettement moins grosse que dans leurs dernières productions. Les compos les plus grind sonnent vraiment bien et mieux que les compos de Diatribes.
L'ensemble est joué dans l'énergie d'un concert punk où les musiciens donnent tout ce qu'ils peuvent.
C'est donc parti avec ce "Bootlegged in Japan". Déjà côté son, c'est vrai que ça pue le bootleg à plein nez : dans le plan purement musical, on entend d'abord la voix hyper distincte, en même temps la batterie avec un son plus elevé pour les percus en metal, puis derrière les guitaristes (que ce soit le bassiste ou les guitariste) rament pour être au même niveau sonore que le batteur et Mark Barney. Les guitares sont audibles mais à un niveau très inférieur, quand à la basse bah elle se retrouve noyée dans les guitares.
Le livret fait aussi typiquement pirate : composé de quatre faces, noir et blanc à l'intérieur, une photo de chaque membre, la playlist (en Japonais et en Anglais) et c'est tout.
Le mythique "scum" et "Diatribes" composent à eux seuls plus de la moitié de ce concert. Ne connaissant pas suffisamment Napalm je ne sait pas si les moeceaux sont mieux ou moins bien réalisés que dans leurs albums studios, je peux simplement vous dire que la transpiration du batteur n'est pas volée, Danny Herrera ne débande pas une seconde : c'est blasts à tour de bras, double à fond, les guitaristes riffent à qui mieux mieux, mais ne sont pas récompensés pour leurs efforts, et le chanteur s'égosille dans son micro avec une voix nettement moins grosse que dans leurs dernières productions. Les compos les plus grind sonnent vraiment bien et mieux que les compos de Diatribes.
L'ensemble est joué dans l'énergie d'un concert punk où les musiciens donnent tout ce qu'ils peuvent.
0 COMMENTAIRE
AJOUTER UN COMMENTAIRE