Top des albums 2010 - Du vingtième au onzième

Top des albums 2010 Du vingtième au onzième (dossier)
 

 

#20 : COMEBACK KID - Symptoms + cures

COMEBACK KID - Symptoms + cures

Comeback Kid est revenu cette année avec le successeur de Broadcasting, et donc le deuxième album avec Andrew Neufeld au chant.

Certes, ce disque n’égalera pas l’armoire à tubes qu’est Wake The Dead, mais détient un bon potentiel, surtout pour le live. Pas mal de titres feront un carton sur scène et il dégoulinera plus d’une goutte de sueur sur le front des kids qui iront se délecter de leurs prestations.

 

#19 : HOW TO DESTROY ANGELS - s/t EP

HOW TO DESTROY ANGELS - s/t EP

Pour le coup Trent Reznor nous offre un Ange, il ne le détruit pas. Cette voix de Mariqueen Maanding, nous envoute, nous transporte et nous ferait croire que les anges sont parmi nous.

Ajoutez à cela la musique indus de Mr Nine Inch Nails, et le tour est joué. Mettez la bande son, fermez les yeux, et bienvenue au Paradis.

 

#18 : SHINING - Black Jazz

SHINING - Black Jazz

Non la Norvège ne verse pas que dans le rock garage. Si le terreau 70's est bien présent du côté du rock couillu, il l'est tout autant du genre progressif (ouch).

Ici le Prog-Rock est malmené par un jazz en ébullition sanctionné de coups de boutoir Metal halluciné. Mine de Rien, Blackjazz en réponse à "in the court of the Crimson king" du Roi Cramoisi qui sortait en 1969, est un mètre-étalon dans le genre. Implacable.

 

#17 : EAST OF THE WALL - Ressentiment

EAST OF THE WALL - Ressentiment

Ce nouvel album d'East of the wall, fruit de l'intégration des membres de Day without dawn, possède donc du chant. Cela n'enlève en rien la qualité des compositions du groupe, au contraire ; cela les sublime.

La bande à Chris Alfano mérite vraiment d'être dans ce top, tant leurs compositions complexes mais très intéressantes, aux envolées mélodiques parfaites, regorgent de bonnes idées.

 

#16 : SICKBAG - Shades Among Shades

SICKBAG - Shades Among Shades

Les Sickbag ont tourné le dos à un grind basique pour faire ce qu'ils avaient envie de faire, à savoir un hardcore à leur sauce, crade et jouissif.

Produit par Francis Caste, leur album est tout simplement une poésie lue dans les sous-sols humides et noirs de Paris. A écouter encore et encore.

 

#15 : WAR FROM A HARLOTS MOUTH - Mmx

WAR FROM A HARLOTS MOUTH - Mmx

Ce MMX de War from a harlots mouth est certainement leur album le plus mature à ce jour. Leurs influences ont été digérées, et malgré la perte d'un peu de folie, le groupe nous balance au contraire une musique plus efficace. mosh-parts, hurlements à se décrocher la machoire, plans jazzy pour faire passer le tout... C'est du bon !

 

#14 : PARKWAY DRIVE - Deep blue

PARKWAY DRIVE - Deep blue

Le dernier phénomène du metalcore actuel est revenu cette année avec Deep blue, et confirme son statut de "nouvelle star" du genre. La machine à sous de Epitaph nous livre un disque dans la continuité de Horizons, avec un metalcore burné. Efficace.

 

#13 : LE COUP DU PARAPLUIE - Philosophie, bien-être et crimes passionnels

LE COUP DU PARAPLUIE - Philosophie, bien-être et crimes passionnels

Les belges ont digérés leur David Lynch illustré, ont bombés le torse en se plongeant dans les oeuvres de Mogwai et de... Star Trek pour un post-rock pulvérisé et saccadé, à l'ombre des figures tutélaires des 90's. Coup de sang fouetté.

 

#12 : THE CHARIOT - Long Live

THE CHARIOT - Long Live

Sauvage ! C’est le premier adjectif qui vient en tête dès ce premier morceau de Long Live, et ce sentiment de sauvagerie sera présent tout au long de ce disque de The Chariot.

Prolongement logique des deux précédents opus, ce quatrième album est le plus abouti, le plus travaillé, le plus mature. On sort de là avec le sourire aux lèvres, un peu interrogé également : mais pourquoi la sauvagerie naturelle nous plait-elle autant ?

 

#11 : THE YOUNG GODS - Everybody knows

THE YOUNG GODS - Everybody knows

Les suisses reviennent sur le devant de la scène avec leur 15ème album, véritable croisement de fer entre leurs volontés acoustiques et leur maîtrise Electro-indus. Everybody knows a des allures de best-of sans l'aspect mercantile du terme. Simplement, une des meilleures sorties du genre depuis des lustres.

 

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