Every Time I Die + Terror + Stray From The Path le 20/02/2012, Montreal, Club Soda

Lundi 20 février 2012
Salle : Montreal
Club Soda
Première grosse affiche metal /hardcore de l’année 2012 sur Montréal en ce lundi 20 février au Club Soda. Plateau vraiment sympa avec Stray from the Path, Terror et Everytime Time I die. 3 groupes aux styles différent pour plus d’attractivité ? Le club Soda est en effet bien rempli ce soir (capacité de 900 personnes), pari gagnant de la part des tourneurs et bon esprit de la part du public venu supporter des groupes.
Je n’aurai pas l’occasion d’assister aux sets des premières parties, dont Obey the grave, nouveau groupe de l’ex-frontman des Despised Icon, Alex. Je n’aurais sans doute aucun problème a les revoir prochainement sur Montreal.
C’est donc en plein set des Stray from the Path que je débarque dans le club (j’espère que certains lecteurs retrouveront la référence…), la fosse et le balcon sont blindés. Bonne presence scenique de la part des new-yorkais, bonne dynamique dans le son et riff bien groovy pour couronner le tout. Leur mélange de Madball et Rage against the machine accroche bien et commence à bouger la fosse. Il me semble cependant que le groupe ne bénéficie pas d’un son exceptionnel (guitares + voix sous mixées) ce qui baisse la prestation en intensité. Dommage, à revoir surement dans une salle plus intimiste pour un show plus généreux en sueur et en décibels.
Légère entracte pour céder la place aux tough guys les plus vilains du moment, les nouvelles légendes du hardcore, Terror. Belle lumière et intro qui se rapproche des débuts de set électro (vraiment bizarre… « C’est Terror qui joue après ? »), voilà la bande de Scott Vogel qui débarque sur son terrain de prédilection pour un set vif et intense. Comme à leur habitude me direz-vous, car c’est vrai qu’après les avoir vu plusieurs fois, on sait clairement à quoi s’attendre. Même si au final c’est que souhaite, l’effet « in your face » s’estompe peu à peu. Tous les morceaux font leur petit effet, le frontman le plus hardcore du moment sait se faire comprendre et motiver ses troupes. Toujours la même rage, toujours le même respect et la même attitude sur scène. Autant les passages punk/hardcore que les mosh-parts métalliques, les chœurs de bucherons, les sing-along fédérateurs et stage diving a l’arrache, tout est là. Tout est bien exécuté, tout roule et la magie du rock’n’roll opère. Les morceaux de « Keepers of the faith » sont désormais de gros succès, ce qui confirme tout le bien de cet album. Au contraire « The damned, the shamed » passe à la trappe… Bon show des Californiens une fois de plus mais je pense sérieusement avoir eu ma dose pour quelques années.
C’est désormais le headliner de la soirée qui va investir les planches du Club Soda, les stars du hardcore’n’roll Everytime I die. Grosse excitation pour votre serviteur puisque c’est la première fois que je vois ce groupe O combien talentueux. La fosse accueille chaudement les Américains qui déboulent avec le premier single de leur nouvel album, « Underwater Bimbos from Outer Space ». Blam ! Le son de malade, les riffs de tueur, l’attitude scénique bien fofolle et une puissance vocale impressionnante de la part du frontman. Quelle énergie bordel ! Et quel son de grattes ! Le cote punchy rock’n’roll du groupe prend toute son ampleur sur scène, la sueur coule à flots, les riffs hardcore grassouillets secouent les nuques et Jordan Buckley tient son show. J’en prends plein les yeux, plein les oreilles, l’énergie ne baisse pas d’un ton et les kids ne tardent pas à investir la scène. Grosse ambiance.
Je suis vraiment scotché par la justesse et toutes les capacités vocales en live du frontman. On se croirait au retour des années 60’s pendant un show rock’n’roll ou la plupart du concert se fait accompagné du pied de micro. Ca ne l’empechera pas de bien occuper tout l’espace, tout en restant au-devant du combo. Pendant ce temps-là, les gratteux pratiquent le lancer de guitare, headbang de l’extrême au escalade d’amplis. Un show rock’n’roll je vous dis ! Le set passe à toute allure, les speechs entre chaque morceau sont courts mais toujours sympathiques et nous voila déjà à la fin du set, sans rappel…(Aaahhh les plateaux a 5 groupes…) Je reste vraiment impressionné et heureux d’avoir vu enfin ce groupe et n’hésiterais pas à me les retaper.
Une bonne petite soirées une fois de plus concoctée par Extensive enterprise, ou je reste bloque sur la prestation démente de Everytime I die, Waw.
Je n’aurai pas l’occasion d’assister aux sets des premières parties, dont Obey the grave, nouveau groupe de l’ex-frontman des Despised Icon, Alex. Je n’aurais sans doute aucun problème a les revoir prochainement sur Montreal.
C’est donc en plein set des Stray from the Path que je débarque dans le club (j’espère que certains lecteurs retrouveront la référence…), la fosse et le balcon sont blindés. Bonne presence scenique de la part des new-yorkais, bonne dynamique dans le son et riff bien groovy pour couronner le tout. Leur mélange de Madball et Rage against the machine accroche bien et commence à bouger la fosse. Il me semble cependant que le groupe ne bénéficie pas d’un son exceptionnel (guitares + voix sous mixées) ce qui baisse la prestation en intensité. Dommage, à revoir surement dans une salle plus intimiste pour un show plus généreux en sueur et en décibels.
Légère entracte pour céder la place aux tough guys les plus vilains du moment, les nouvelles légendes du hardcore, Terror. Belle lumière et intro qui se rapproche des débuts de set électro (vraiment bizarre… « C’est Terror qui joue après ? »), voilà la bande de Scott Vogel qui débarque sur son terrain de prédilection pour un set vif et intense. Comme à leur habitude me direz-vous, car c’est vrai qu’après les avoir vu plusieurs fois, on sait clairement à quoi s’attendre. Même si au final c’est que souhaite, l’effet « in your face » s’estompe peu à peu. Tous les morceaux font leur petit effet, le frontman le plus hardcore du moment sait se faire comprendre et motiver ses troupes. Toujours la même rage, toujours le même respect et la même attitude sur scène. Autant les passages punk/hardcore que les mosh-parts métalliques, les chœurs de bucherons, les sing-along fédérateurs et stage diving a l’arrache, tout est là. Tout est bien exécuté, tout roule et la magie du rock’n’roll opère. Les morceaux de « Keepers of the faith » sont désormais de gros succès, ce qui confirme tout le bien de cet album. Au contraire « The damned, the shamed » passe à la trappe… Bon show des Californiens une fois de plus mais je pense sérieusement avoir eu ma dose pour quelques années.
C’est désormais le headliner de la soirée qui va investir les planches du Club Soda, les stars du hardcore’n’roll Everytime I die. Grosse excitation pour votre serviteur puisque c’est la première fois que je vois ce groupe O combien talentueux. La fosse accueille chaudement les Américains qui déboulent avec le premier single de leur nouvel album, « Underwater Bimbos from Outer Space ». Blam ! Le son de malade, les riffs de tueur, l’attitude scénique bien fofolle et une puissance vocale impressionnante de la part du frontman. Quelle énergie bordel ! Et quel son de grattes ! Le cote punchy rock’n’roll du groupe prend toute son ampleur sur scène, la sueur coule à flots, les riffs hardcore grassouillets secouent les nuques et Jordan Buckley tient son show. J’en prends plein les yeux, plein les oreilles, l’énergie ne baisse pas d’un ton et les kids ne tardent pas à investir la scène. Grosse ambiance.
Je suis vraiment scotché par la justesse et toutes les capacités vocales en live du frontman. On se croirait au retour des années 60’s pendant un show rock’n’roll ou la plupart du concert se fait accompagné du pied de micro. Ca ne l’empechera pas de bien occuper tout l’espace, tout en restant au-devant du combo. Pendant ce temps-là, les gratteux pratiquent le lancer de guitare, headbang de l’extrême au escalade d’amplis. Un show rock’n’roll je vous dis ! Le set passe à toute allure, les speechs entre chaque morceau sont courts mais toujours sympathiques et nous voila déjà à la fin du set, sans rappel…(Aaahhh les plateaux a 5 groupes…) Je reste vraiment impressionné et heureux d’avoir vu enfin ce groupe et n’hésiterais pas à me les retaper.
Une bonne petite soirées une fois de plus concoctée par Extensive enterprise, ou je reste bloque sur la prestation démente de Everytime I die, Waw.
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