Hellfest 2018 : le mini-guide ultime - Les incontournables du vendredi (Tookie)

Hellfest 2018 : le mini-guide ultime Les incontournables du vendredi (Tookie) (dossier)
 

 

L'art délicat de la sélection.

C'est chaque année la même rengaine : la publication du running-order marque l'entame de longues réflexions, de débats houleux et de pénibles dilemmes. 

 

 

Toi, festivalier, tu fais ce que tu veux, mais on pense que rater certains groupes serait un crime contre le bon-goût (dont nous sommes les garants comme tu le sais si tu passes souvent sur le site).

Le vendredi, 53 groupes se succéderont sur les 6 scènes du fest. Beaucoup de beau monde, comme Bad religion, Suffocation, Rise against, A perfect circle etc. mais tu ne dois absolument pas rater :

 

Converge

 

Nos chouchous.

Alors, sans surprise, lorsque les américains débarqueront sur la Main Stage 2 à l'heure du goûter pour 40 minutes de live, tu auras intérêt à avoir pris une barre de céréales survitaminée. Même si l'heure et le lieu ne sont pas idéals pour profiter pleinement du groupe, même si The dusk in us n'a pas emballé toute la team de coreux, nous n'imaginons pas que tu puisses passer un mauvais moment.  Pire, tu auras raté ton Hellfest si tu rates ce concert.

Nos chroniques de Converge : 

The dusk in us (2017)

Pound for Pound: The Wolverine Blues Sessions. EP (2013)

All we love we leave behind (2012) 

Axe to fall (2009)

No heroes (2006)

You fail me (2004)

Jane Doe (2001)

 

 

 

 Meshuggah

 

La valeur sûre.

Nous ne sommes pas pressés de voir ce moment arriver, mais on attend toujours une sortie décevante de Meshuggah. Aller voir le groupe en live c'est rendre hommage à leurs composition hypnotiques mais c'est aussi jouer avec le feu. Il y a un réel risque d'épilepsie et/ou de finir piétiné. On ne va pas trop se marrer sur la Main Stage 2 (le groupe succédera à Converge) dans ce moment qui séparera le goûter d'une heure décente pour prendre l'apéro. Si tu rates Meshuggah, t'as raté ton Hellfest.

Tous les arguments pour aller voir ces mecs qui devraient représenter la Suède à l'Eurovision sont à lire dans les chroniques élogieuses ci-dessous.

 

Nos chroniques : 

The violent sleep of reason (2016)

Koloss (2012)
ObZen (2008)

Catch 33 (2005)

I (2004)

Nothing (2002)

 

 

Steven Wilson

 

À chaque fois que je vois cette photo issue du shooting promo de To the bone, je peine à ne pas songer que Steven Wilson sort d'une bukkake avec les Teletubbies. Bref, même si je trouve qu'il ne force pas trop son talent depuis quelques années, il faut reconnaître que ce mec est exceptionnel. Ce musicien hors-pair aurait peut-être pu magnifier ses compos s'il avait joué une fois le soleil couché. Tant pis, ça ne sera pas le cas, mais ce sera quand même excellent...et surprenant : Steven Wilson ne joue pas du tout dans la même cour que les gueulards qui s'enchaîneront sur scène pendant 3 jours à Clisson. Rien que pour ça, rater cette "pastille prog' pop", ce serait rater son Hellfest.

 

Notre chronique : 
To the bone (2017)

 

 

Le dilemme du jour  

 

Benighted et Celeste joueront de 14h20 à 15h, le premier sur l'Altar, le second dans la Valley.

Alors que faire ? Franchement, je ne peux pas décider pour toi.
Tu pourras toujours tenter de te faire une opinion en lisant nos articles enthousiastes pour Benighted ici ou Celeste .

 

photo de Tookie
le 13/06/2018

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