TOP albums metal, hardcore, rock et leurs dérives 2015 - Du vingtième au onzième

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TOP albums metal, hardcore, rock et leurs dérives 2015

#20 : ZATOKREV - Silk spiders underwater

Habitué à allier violence et puissance dans ses albums, Zatokrev a cette fois peté tous les plafonds en sortant son oeuvre la riche, la plus intense, la plus oppressante mais aussi la plus passionnante. Aussi sombre que lourde, "Silk spiders underwater" est une aventure musicale unique.

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#19 : WHEELFALL - Glasrew point

Un groupe nancéen qui ose, mélangeant subtilement indus, black, death ou hardcore, qui nous a sacrément surpris.
Chapeau bas !

#18 : ÆVANGELIST - enthrall to the void of bliss

aevangelist - enthrall to the void of bliss

Si Ævangelist est dans notre top, ce n'est ni par snobisme de notre part ni par opportuniste de la leur, mais pour la qualité de leur musique. Alors qu'Ævangelist a sorti cette année deux disques ayant pour similarité l'amour des profondeurs où se cachent des bêtes relevant du folklore non terrien, nous avons préféré le côté death metal implacablement doom et visqueux, comme un bon vieux colonel imbibé d'alcool qui vous ferais ramper dans la boue sur une marche militaire jouée par des instruments sismiques.

#17 : Chelsea Wolfe - Abyss

Chelsea Wolfe, c'est un peu le gothique facile pour les métalleux. C'est un peu aussi l'alternative un peu mainstream aux musiques vraiment sombres. Dis comme ça, la demoiselle (et son groupe) pourrait passer pourrait passer pour une sacrée opportuniste s'il elle n'avait pas néanmoins signé avec the abyss un album incroyablement solide, riche, varie et chargé en énergie négative comme on les aime... Peut être moins virtuose que ses albums précédents mais néanmoins excellent... Suffisamment pour figurer ici en tout cas.

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#16 : Regarde Les Hommes Tomber - Exile

Ce "Exile" est une des bonnes surprises de l'année ; un album intense, groovy, sombre et implacable, soit une grosse claque en perspective avec l'un des meilleurs morceaux de 2015, avec "The Incandescent March".

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#15 : Vision Of Disorder - Razed To The Ground

Aaaah VISION OF DISORDER ! La reformation du groupe en a laissé plus d'un sur le carreau, et pourtant, ce nouvel opus assure vraiment. Certes, cet album est incomparable avec leur chef d'oeuvre "Imprint", et le groupe part dans des titres nettement plus metalliques qu'auparavant, mais franchement, VISION OF DISORDER enterre plus d'un groupe s'essayant également aux mélanges metal/hardcore.

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#14 : Fredag Den 13:e - Domedagar

La vérité n'est pas une vertu, mais une passion. De là qu'elle ne soit jamais charitable." A lire cette citation, on pourrait croire qu'Albert Camus est un fan de Fredag Den 13:e ! Bon, pas possible car il est mort en en 1960. Pourtant sur leur dernier album, les Suédois meule avec un tel amour du travail bien fait, sans charité aucune, qu'on peut dire, sans sourire : Fedag Den 13:e parle le vrai.

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#13 : BARONESS - purple

Se relevant de la plus belle des manière après leurs récents tumultes (accident de line-up et cassage de bus, à moins que ça ne soit l’inverse…) Baroness nous offre une envolée lyrique et sinueuse au milieu des champs de Whisky, santiags et autres chiques de tabac. Un Mastodon du prog-heavy-folk, peut-être. Un album jouissif, c'est sur, à écouter assidûment orteils croisés sur le tableau de bord de sa Gran Torino (ou de sa Seat Ibiza, c'est selon).

#12 : Revok - Bunt auf Grau

Revok est l'un de ces groupes particulièrement intense sur scène, où ils "deviennent" Revok. à part dans un circuit de musiques agitées bien fourni. Ils transcendent de mieux en mieux leur intensité en format disque. Leur coup de force est d'utiliser la noirceur, la profondeur, et une énergie assez désespérée sans jamais tomber dans les clichés. Le plaisir du malaise n'en est que plus grand.

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#11 : Iron Maiden - The Book Of Souls

Depuis 2000, le groupe peinait de plus en plus à nous intéresser. Alors quand Iron Maiden sort un album de la trempe de The Book of Souls, il faut en parler ! La classe anglaise à l'état pur, ce que les boys savant faire de mieux, avec un Dickinson en état de grâce.