HELLFEST 2012 - Le week-end de Viking Jazz

HELLFEST 2012 Le week-end de Viking Jazz (dossier)
 

 

Aaaaaaah le Hellfest, ce son de merde, ces hordes de metalleux sans gènes rendant insalubres les toilettes à une vitesse record, cette programmation qui voit revenir les mêmes groupes une année sur deux, ce son de merde (je l'ai déjà dit ?).. mais c'est aussi depuis plusieurs années cette organisation sans faille qui gère de mieux en mieux son affaire malgré la croissance fulgurante du festival. Cette année petite nouveauté on change de coin alors qui dit nouveau site dit rodage, et là j'attendais le pire, ne serait-ce qu'en terme de gestion des flux humains. Mais dès l'entrée au camping on à pu observer qu'ils n'ont rien laissé au hasard: grands pilonnes avec repères de couleurs pour ne pas se paumer, des lumières pour se repérer le soir, des grandes allées, beaucoup plus de WC.. Le seul bémol quant à la gestion du terrain et à la météo pluvieuse qui a vite transformé le sol en gadoue (de la gnognotte comparée à 2007 évidemment). On aurait aimé un peu de foin ou de gravier pour compenser ça, mais c'est vraiment histoire de faire mon connard insatisfait. Hey, Ho, Let's Go !
 

 



VENDREDI



On commence donc le festival en pantalon et avec les parapluies, avec une première moitié de journée intéressante et l'autre qui sent le déjà vu.



DOOMRIDERS
Autant j'adore le premier album du combo mené par Nate Newton de Converge, autant le dernier m'ennuie royalement sur galette. J'avais donc une sacré appréhension quant à la setlist du groupe ce matin, mais à ma grande surprise les morceaux du dernier disques passent beaucoup mieux en live que sur album. On à donc le droit à du bon rock'n'roll qui fait bouger la tête et qui se prend pas le melon avec les tubes de Black Thunder au rendez-vous et un son potable. Malgré cette bonne impression heureusement que le show ne durait qu'une grosse demi-heure car on aurait tendance à se lasser, et je n'ai pas pu m'empêcher de regretter Taint en sortant du concert.

BELENOS
Je ne vais pas voir beaucoup de black metal ce week end mais quand ce sont des copains qui jouent sur une grande scène, je ne vais pas rater ça ! Ayant déjà vu plusieurs fois le groupe breton sous leur nouvelle formation je sais à quoi m'attendre mais j'ai hâte d'entendre le black pagan de Belenos avec un gros son et surtout deux guitares. Si le son est plutôt crados, on entend correctement tous les instru et le chant clair de Loic qui ponctue les passages les plus épiques des compositions. Ces passages qui sont vraiment bien foutus avec des lignes intéressantes et pas du tout clichées ou "folko" et qui diversifient la musique du groupe. En tout cas on sent comme toujours une prestation honnête et sincère du combo breton et c’est toujours un plaisir de voir nos nantais Marc et Antoine accompagner Belenos sur les planches !

BENEDICTION
Si le groupe anglais à toujours fait office de second couteau sur la scène internationale compare aux grands Bolt Thrower, Napalm Death ou Carcass, sur scène l’impression sera assez similaire (ce qui se traduit également par l’horaire de passage du groupe dans la programmation). Et  c’est bien dommage car le death old school du combo de Birmingham est efficace et bien rôdé malgré son manque de tubes, mais manquera un peu de patate pour vraiment nous faire secouer les tiffes.

THE ATOMIC BITCHWAX
Après avoir entendu que la Warzone était un champ de boue impraticable j’ai donc soigneusement évité Victims à mon grand désarroi et je me suis dirigé un peu las vers la Valley et alors là ce fût la plus grosse surprise de la journée ! Ne connaissant qu’un album et ne l’ayant pas vraiment en tête je me suis retrouvé dans un flot de fuzz aussi rock que psychédélique en un rien de temps sans me douter de ce qui allait m’arriver. Ca groove à mort, ca chante en chœur super bien, ça riff vitesse lumière, ça couine à grand coup d’enveloppe filter et de wah et ce son à parasiter les pacemakers est un vrai régal ! Un concert d’une fraicheur et d’une exécution remarquable qui fait secouer la tête et donne la banane. Du vrai rock’n’roll en veux tu en voilà qui t’en fout ras la mouille sans même te demander ton avis : du bonheur.

DARKSPACE
Je ne vais pas m’attarder sur ce concert dont je n’ai même pas pu supporter 5 minutes tant le son était déplorable. Autant le groupe me parait intéressant sur album, mais sur scène ça sent la farce non maitrisée à plein nez. Déception et pire son du week end, une gerbe auditive ni plus ni moins.

ORANGE GOBLIN
Malgré toute la  sympathie que j’éprouve pour le groupe de Ben Ward et mon engouement pour les titres de l’album The Big Black ("Quincy The PigBoy" et "Scorpionica" toujours interprétés live) et ce malgré un son moyen, ce concert fût un copier-coller de celui de 2009 sous la même scène, avec des morceaux de Eulogy for The Damned en plus, leur dernier né. Donc oui c’est bien, mais dispensable.

TAAKE
C’était le concert qu’on m’avait dit d’aller voir pour profiter d’un black metal aussi rock’n’roll que true avec sa dose de HUH! et de riffs norvégiens pures souches. Et on peut dire que c’était largement à la hauteur de ce qu’on m’avait dit : bon son pour le style (autrement dit cracra comme il faut) ambiance survoltée et attitude de panda comme on aime à grand coups de rangers et de drapeaux nationalistes. Efficace et méchant, hargneux et bien exécuté, Taake c’est LE nouveau nom du Black Metal avec Watain, ça se confirme.

NASUM
Bon on pourra dire « on a vu Nasum » avec le chanteur de Rotten Sound en prime. Sinon il n’y aura strictement rien à retenir de ce concert au son minable et inaudible. Alors vous pouvez toujours dire concert d’anthologie, attitude super, pas besoin d’un bon son pour du grindcore ce qui compte c’est l’énergie (et il y en avait pas de doutes là-dessus) mais niveau émotions auditives bah c’était le grand vide pour moi. J’ai donc rebroussé chemin au bout de 10 minutes tant j’ai eu l’impression de perdre mon temps devant cette débauche de bpm et  de vomi sonore.

SATYRICON
Je vais pas vous le cacher je me suis retrouver devant Satyricon parce que j’attendais devant Obituary à la base, mais étrangement je ne me suis pas ennuyé n’appréciant pourtant pas outre mesure leur musique. Je ne connais que deux albums du groupe : Now Diabolical qui me fait doucement rigoler, et Dark Medieval Times, qui me fait doucement gerber je ne peux donc pas décemment juger de la setlist de ce soir mais j’ai plutôt apprécié ce que j’ai entendu. Hyper rodé, bon son, lumières exceptionnelles (tout callé au poil, j’avais rarement vu ça) c’était du spectacle comme les groupes de black metal  un peu poseurs aiment le pratiquer, mais bizarrement ça ne m’a pas trop dérangé moi qui pourtant déteste ça d’ordinaire. Les passages avec trois guitares sont efficaces, ça joue, ça se la pète plus que de raisons mais on à quand même senti que la bande de Satyr et Frost prenaient du plaisir à performer et c’était ma foi plutôt communicatif. Inattendu et impromptu mais pas désagréable.

OBITUARY
OK maintenant on ne rigole plus, pas de chichis que du death metal old school planplan et gras du bide comme on l’aime. Un son de guitare et de basse dantesque et graveleux comme il faut, un Donald Tardy en forme derrière ses fûts et un John Tardy remarquable. Comment fait il pour garder la même voix depuis 20 ans sans blagues ? Et la cerise sur le gâteau, pas de guitare lead, pas de solos, que du riff ! Je ne sais pas du tout ce que Ralf Santola est venu faire dans ce groupe mais sans lui, et sans guitare lead tout court d’ailleurs c’est bien mieux. Là on se prend toute l’énergie des compos dans la tronche, c’est frontal, débile même, et c’est ça qu’on aime. On sent aussi que le groupe prend du plaisir à jouer sur scène, fini les tronches de déterrés bonjour un sourire communicatif et une envie d’en découdre comme à la bonne époque. Une belle leçon de metal, mon concert de la journée sans aucuns doutes.

TRAGEDY
Ne connaissant pas le groupe sur le bout des doigts j’attendais deux choses de sa part : soit un concert axant tout sur le côté hardcore hyper vénère et incisif, soit un peu de subtilité et un choix de set mettant plus en évidence leur coté punk mélodique qui  a fait d’eux le monument qu’ils sont aujourd’hui. Malheureusement mon cœur balançait vers la deuxième option et c’est vers la première que le groupe s’est tourné. Là no n plus pas de chichis on s’est prit une dose de rage assez monumentale, mais je n’attendais pas du tout le groupe sur ce terrain là et ça ne m’a pas enchanté plus que ça. La faute à une longue journée dans les pattes et à un son pas folichon d’une part, et ensuite à une attitude que j’ai trouvé surfaite, ou du moins pas appropriée, comme si le groupe avait quelque chose à prouver et devait se justifier d’être dans un festival extrême en jouant la carte des gros méchants. Hormis ces grosses voix de malades très impressionnantes, je n’ai pas du tout été conquis par cette approche et je ne suis pas rentré dedans malheureusement.
 



SAMEDI

 


 Forcément fatigué par une nuit courte et une journée à patauger dans la boue, on attaque la seconde salve de concerts avec un samedi plus riche en concerts qu’a l’accoutumée. Mais mon scepticisme l’emportera une fois de plus sur le reste outre mes choix de concerts qui se sont révélés parfois infructueux.

ORANSSI PAZUZU
J’adore le dernier album du groupe avant-gardiste finlandais et j’ai eu extrêmement peur que leur concert soit un ramassis d’effets inaudibles et chiants. Heureusement la carte quitte ou double à joué en ma faveur ce samedi matin et le concert fut très agréable. Un son moyen mais qui passait avec des bouchons bien enfoncés pour profiter de toutes les nappes sonores que développent le groupe tout au long de ses longues compositions, et un groove lancinant étrange et hypnotique (un peu à la manière de Virus) qui passe le cap des planches avec les honneurs. Je pense qu’en petite salle et en petit comité un tel concert pourrait passé du stade de « bon moment » à « concert grandiose » mais ce fut déjà un bon aperçu de la palette sonore que propose le combo.  On commence plutôt bien la journée.

AMEN RA
Vu vu et revu, avec des compos toujours aussi chiantes, mais efficaces. Sans surprises, si ce n’est un bon son, on a tous bougé la tête sur les compos ultra simplistes du groupe belge, mais on en demande pas plus après tout. Cool sur le moment, sans saveur particulière avec le recul, comme à chaque fois finalement, mais ce n’est pas si grave après tout, ça reste de qualité.

UNSANE
Quelle malédiction, à chaque fois que je verrai le groupe sur scène il manquera un des membres d’origine. Cette fois ci ça sera le fantasque batteur hospitalisé aux Etats-Unis pour une raison que j’ignore et dont je me tape totalement, remplacé au pied levé par le petit gaucher talentueux de Big Business. Un concert d’Unsane c’est deux choses : un son de basse, et tout le reste. On a été servit. Ultra efficace avec un public conquis d’avance, c’était moins prenant qu’en salle mais il faut avouer qu’ils en imposent les gaillards. Et pour finir une reprise de Flipper qui me trottera dans la tête tout le week end : Hahahaha, hohohoho, ha ha ha ha ho ho ho ho ! Pas mal pas mal, mais toujours pas la grosse claque que j’attendais.

YOB
Gros dilemme que j’ai finalement résolu en choisissant de rater Dog Eat Dog pour me placer au premier rang afin de bénéficier des conditions idéales pour voir un de mes groupes préféré. Après un concert magistral au Roadburn cette année où le groupe a interprété EN ENTIER The Unreal Never Lived autrement dit son meilleur album, j’attendais du lourd pour le Hellfest avec une setlist plus variée. Et la décéption n’aura été que plus grande de voir le groupe jouer exclusivement pendant une heure des titres des deux derniers albums, douces blagues auto-parodiques des talentueux 4 premiers. Je me suis véritablement ennuyé jusqu’au dernier titre : « Grasping Air » de Unreal Never Lived que j’avais déjà vu quelques mois auparavant avec beaucoup plus d’entrain. D’une pierre deux coups j’ai  manqué un bon concert pour être aux premières loges de ma plus grosse déception du week end, choix regrettable.

 

ENSLAVED
Alors oui c’était bien, mais c’était LE MÊME CONCERT que quelques mois auparavant sur leur tournée européenne. A moins de prendre sa fan base pour des glands (excusez du peu) j’appelle ça du foutage de gueule en bonne et due forme. Aucune prise de risque, aucune originalité… Evidemment c’était un show superbe, exécuté a merveille avec une bonne attitude, des morceaux cools et le sourire, mais auquel il manque un peu de saveur malgré tout. J’ai eu l’impression de regarder un DVD pendant 1heure… Et puis un concert d’Enslaved sans morceau de Frost, n’est pas un concert d’Enslaved digne de ce nom.

ENTOMBED
S’il y a bien un concert qui a mit tout le monde d’accord c’est celui-ci. Tonitruant, voilà l’adjectif le plus adéquate pour qualifier ce show d’Entombed. Je n’avais pas vu le groupe depuis un moment à mon grand désarroi et je me suis bien rattrapé avec cette prestation monumentale des vieux crados suédois. Du gros du gras du lourd du death old school des familles avec une attitude rock’n’roll et un son de pâté au pruneaux qui te file une diarrhée du tonnerre tellement tu en as bouffé. Enorme de bout en bout, avec les classiques de la grande époque et des titres plus récents qui font tout autant bouger la crinière. On en aurait bien prit une heure de plus dans les dents pour ingurgiter encore plus de tubes (Uprising grand absent du set) mais ça restera LE concert du week end assurément. HUH !

REFUSED
Mouai, pas convaincu. Un gros pétard mouillé cette attitude et ce discours et j’ai eu l’impression de ne pas être à ma place dans ce concert pour la seule fois du festival. Retour au camping ça suffit les conneries.


 


DIMANCHE

 


Dernière journée avec un peu moins de concerts à voir que d’ordinaire et la fatigue qui pointe le bout de son nez en même temps que le soleil ! On sort les short et on crame en  sirotant une bière dégueulasse.. c’est aussi ça le Hellfest.

MONKEY 3
Alors là respect, aussi bon sur scène que sur album, c’était un grand moment de rock psychédelique et j’en ai eu pour mon argent si je puis dire. Son nickel, prestation qui m’a semblée sincère, les italiens potes d’Ufomammut m’ont tout bonnement ravit !



BLACK LABEL SOCIETY
J’étais obligé de voir la bande de motards de Zakk Wylde au moins une fois tant j’ai écouté les premiers albums au lycée comme si à force ma barbe et ma virilité allait faire surface plus vite. Bon le son était nul Main Stage oblige, les solos interminables aussi Zakk Wylde oblige, et l’attitude était américaine au possible Black Label Society oblige, mais on est venu pour ça après tout. Sortez les motos, les aigles, les ours et les bandanas sudistes et c’est partit pour une balade dans le Texas pour tuer des indiens et des loups à grand coups de riffs. La débilité du rock’n’roll incarnée mais l’efficacité démontrée par la même occasion. Un petit moment que j’aurai aimé apprécié avec mon ami Bandemou alors paumé dans la foule dense et alcoolisée des Main Stage.

 



ACID KING
Je crois être le seul à détester ce son de basse plastique et grésillant qui reste un grand mystère pour moi à chaque fois que je vois le groupe sur scène. Je ne suis pas rentré du tout dans ce concert : morceaux joués trop rapidement et pourtant mous comme c’est pas permit, et son pas top suffiront pour me faire déguerpir. Vu dans de meilleures conditions au Mondo Bizarro à Rennes et je m’en contenterai.

DYING FETUS
Je me trompe ou Dying Fetus n’a jamais été aussi efficace que depuis qu’il est passé sous forme de trio ? Pas de commentaires superflus, ça envoyait du gros pâté bien vilain à vitesse grand V à grand coup de tubes (« Grotesque Impalement », « Kill Your Mother Rape Your Dog », « One Shot One Kill »)et un ou deux nouveaux titres bien efficaces. Mange, Pit, Aime.

PENTAGRAM
Vieux. Trop de solos. Son énorme. Cathedral me manque.

SUFFOCATION
Je crois que sans Suffocation, je ne serai pas venu cette année. J’attendais donc comme à mon habitude le combo New Yorkais devant les balustrades avec le retour de leur ancien batteur Dave Culross. D’emblée le groupe impose sa lourdeur avec un « Throne Of Blood » monstrueux et enchaine les tubes « Effigy Of The Forgotten » le monumental « Catatonia » et « Pierced From Within ». Le tableau est posé et ça ne déconne pas avec un enchainement de morceaux aussi puissants. Le son est plutôt bon, ça joue toujours avec une facilité déconcertante (sans parler de la grosse frappe de Culross), et Mullen à la patate et est hyper communicatif comme à son habitude. On se fait deux trois titres des derniers albums (mais Souls To Deny est toujours absent des setlist malheureusement) et on aura le droit à deux titres de Despise The Sun l’EP sur lequel apparaît Dave Culross histoire de lui faire honneur : « Funeral Inception » et « Devoid Of Truth »  en plein dans la gueule. On termine par un « Infecting The Crypts » bien comme il faut et on remballe le tout malgré un ou deux plantages la faute à un line up pas assez rodé. Mais cela ne leur fait pas défaut Suffocation reste pour moi le meilleur groupe de death metal de tous les temps et nous fait une démonstration de tout son talent une fois de plus. Respect.

SUNN O)))
Tant pis pour Ozzy Osbourne il pleut, le moment idéal pour se réfugier sous la Valley et se prendre une dose massive de basses dans les conduits. Ayant vu moulte fois le groupe sur scène je sais à quoi m’attendre mais j’appréhende à la fois le volume et la setlist pour ce soir. Première appréhension levée, ça vibre c’est bassy, c’est fort, contrat remplit au moins pour ça. La setlist en revanche était un peu décevante car déjà entendu sur leur précédente tournée : une intro avec un riff de « Orthodox Caveman » sur Black One suivit de « Agartha » et d’un soli de voix d’Attila assez impressionnant. Satisfait mais j’ai été très surpris de l’attitude du groupe qui levait le poing et battait le rythme sur de la grosse onde carrée en début de set pour haranguer le public.. sans déconner haha.

 


 

Bilan plutôt positif pour cette édition 2012 avec un nouveau site bien foutu et un public qui a été respectueux et assez cool cette année. Rien que pour ça c’était agréable, après je crois qu’il faut que je laisse définitivement mes oreilles au camping pour pouvoir apprécier un peu plus les concerts sur le site. Je ne vais pas dire « vivement la prochaine édition » car à part Fantomas, Tool ou Nine Inch Nails, je crois que peu de groupes sauront me motiver à bouger sur Clisson l’an prochain, mais je finirai par céder comme tous les ans, ça serait trop con de s’en priver habitant aussi près du site. Je regrette de ne pas avoir pu croiser plus souvent la team Core & Co présente, et tous les potes disséminés sur le site pendant 3 jours, on fera mieux la prochaine fois.

photo de Viking Jazz
le 19/07/2012

3 COMMENTAIRES

pidji

pidji le 19/07/2012 à 11:10:17

Hmmm pas vraiment d'accord avec toi pour REFUSED : certes on sait très bien que l'argent a bcp joué pour cette reformation, mais j'ai vraiment pris mon pied durant ce concert. La période The (international) noise Conspiracy a énormément impacté le chanteur pour son jeu de scène je pense.

ukhan

ukhan le 19/07/2012 à 11:54:06

Entombed !! Quand même rhooooo ça, ça aurait fait bien plaisir.

Crom-Cruach

Crom-Cruach le 19/07/2012 à 17:29:54

Une review plus complète que chez les petits copains (que je ne dénoncerai pas car c'est pas mon genre) !

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anonyme


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